Le mort. Depuis si longtemps, je ne ressentais pas  de contacte sur ma peau. Il ne me restait que les os... et cette ancienne magie qui m'animait. Les secrets d'un rituel que je gardais pour moi. Je ne voulais pas vendre la source de mon immance puissance a de vulgaire mortel. Je dis ca depuis ma tour en ruine du royaume Runique comme si j'avais toujours été ce que je suis: Une source de mort. Une créature grotesque et abominable pouvant faire appel a d'autre créature. Un facteur a prendre en considération sur un champ de bataille.

T'en de guerre, t'en de savoir. J'avais détruit des rareté, des perles a la valeur  dépassant l'imagination et ce, pour mon avarice, mon envie d'être l'unique détenteur d'un antique savoir. Les derniers millénaires m'avait rendu très dangereux, je savais des choses qui devrait rester dans le silence des tombes.

Je me leva de mon lit, prit mon phylactère. Ce monde était... monotone, bien que sur. La lumière du jours me rappelait des nombreux souvenir de mon vivant. Ma femme de l'époque, mes enfants. Des chose que mon savoir m'a retiré. La lumière, si belle... une force pourtant si oppressante qu'elle devient parfois sa propre ombre. Une triste réalité de cette dualité qui ne devrait même pas existé. Je commença a quitté cette terre désolée sous la protestation des forces armées sans m'occuper d'eux. Il fallait dire que j'avais une personnalité atypique moi aussi. J'avais moi aussi mes secrets. Bien que je sis présents lors des conflit territoriaux destiné a décimer tout ce qui entrait, j'avais aussi ma liberté et ce roi, aussi puissant était-il, ne me la retirerais jamais: Nul ne me contrôle. Si je fais quelque chose, c'est que je le veux bien, ni plus ni moins.

J'avais fais des recherches sur mon arbre généalogique, assez pour savoir que l'une de mes déscendante étudiait avec les ignorant de l'académie. Je savais ou aller.

Arrivé dans une vallée, je pouvais appercevoir un petit poste de garde frontalier. Jusque la, les gens battaient en retraite a ma seule vue. J'avanca avec confiance jusqu'a entendre l'un d'eux m'interpellé avec son arc a la main.

-Créature, je sais d'ou vous venez et je ne peux même pas imaginez quel motivation vous habite en ce moment. Rendez-vous et vous serez juger et exécuter pour crime contre l'humanité. Toute résistance mènera à votre mort!

J'accumula une énergie magique cosmique dans un profond soupir pour incanter deux foi. Deux cercle magique apparurent devant moi, la première un mort-vivent muni d'une armure, d'une taille d'un colosse suivi d'un autre avec une hache de guerre a la main. Un lien vint se crée entre moi et l'armuré puis je riposta:

-Avec ou sans vous, je voyagerais jusqu'a ma destination, écartez-vous de ma route et aucun mal ne vous sera fait.

Un cor de guerre se fit entendre, l'alarme venait de sonner. Hors de leurs vue, il tentèrent de tirer avec leurs arcs et arbalète sur le plus gros. Encore un soupire . Inutile. l'autre semblait bouger aisément, il chargea sans peur dans un terrible cris de guerre vers les 8 homme armée qui se placèrent en formation pour encaisser la charge. La ligne de bouclier volla comme un tas de feuille morte dans une tornade avant que l'un d'entre eux se fasse éclater le bras a travers l'armure, due a la force absurde du mort-vivant. Une toi tous a terre après des minute de lutte, je rappela mon guerrier et fit disparraitre mon gardien.

Je pouvais voir une jeune dame tenter de soigner celui au porte de la mort, mon guerrier s'appréta a la charger. Je l'arrêta d'un signe de la main pour m'approcher d'elle.

-Que ceci serve d'avertissement, si jamais ils tentent de me retrouver ou de m'empêcher de passé, je les tueraient tous.

J'incanta un sort de glace pour crée une couche qui irait coaguler le sang pour aider la jeune dame avant de simplement continuer ma route vers cet établissement magique sous le regard mystifié de cette humaine, visiblement dépassée par les événement et la terreur des gardes. La jeune dame nota les événement qu'elle envoya a ses supérieurs de l'académie sans répondre.

J'avais déjà été humain avant de devenir le monstre que j'étais aujourd'hui. Je pouvais donc comprendre qu'ils ne faisait que leurs travail. Le guerrier disparru et je repris ma route sans lui parler.

Une foi a l'académie, c'était les mages compétent qui activa les boucliers magique. Certains mage de guerre vont me voir. Plusieurs heures de discution puis ce fut la directrice qui me laissa entrer.

-Que voulez-vous créature de la nuit?

-Je suis venu enseigner...

-On y gagnerais quoi?

-Le fait d'en apprendre plus sur moi grosse conne

-Quels sont vos domaine d'expertise?

-Formulez votre question ainsi: Dans quel domaine ne disposez-vous pas de connaissance? La réponse serait: Je détiens un large éventaille de savoir dans tout les domaine, cependant, demandez moi pas de pratiquer la magie blanche.

-J'ajouterais une condition: Je veux garder votre phylactère. Je m,engage a ne rien tenté au nom de la neutralité de notre établissement.

-Bon... si vous avez peur a ce point. Je commence quand?

-Dans deux heures... Il y a un cours de télékinésie et l'enseignant est absent faites vos preuve.

Je me retourna, ignorant sa poignée de main pour aller vers la salle de cours avec le livre des prof qui me servait a enseigner. j'aurais simplement pu le laisser a la bibliothèque.

Une foi dans la classe, une heure avant tout le monde, je commença mon oeuvre: Mon cours, mes conditions.  La température de la classe descendit en dessous des -30 assez rapidement. Le but: Maitriser le sort. écouter le cours sous un froid morte. Il faudrait faire preuve de ruse affin de surrmonter le froid et d'attention pour suivre le cours. Les élèves entrèrent, certain avait déja l'envie de quitté la classe. Je sourit d'un aire peu aimable. Dommage, ma descendante n'était pas encore la.

-Bonjours! mon nom est Tripalior, grand maître invocateur venu tout droit du royaume Runique. Je suis le suppléant. Les règles seront simple. Un avertissement ensuite, vous serez jeté dehors. J'ai pour l'habitude des suppléant qui ne se font pas respecter, mais rassurez-vous, je saurais me montrer perssuasif envers chacun d'entre vous.

L'un des élève explosa de rire, allumant un feu a coté de lui pour se garder au chaud. Il regarda le prof avec défi pour lui rétorquer.

-Runique? tu en as combien des connerie comme ca? Hey le damné, tu te montre sociable et tu viens apprendre la magie a des gosse? c'est quoi ça?

Je recommenca a incanter, certains élèves prirent peur puis la créature armé d'une hache apparut dans un cercle magique, regardant la cible de la liche d'un regard terrifiant. L'élève lanca une boule de feu qu'il absorba sans trop de peine a cause de la différence entre les niveau de puissance puis la créature le chargea pour le plaquer au mur avec une sauvagerie jamais observer dans un cours.

-Quelqu'un a une question pertinente qui ne concerne pas le royaume Runique? Et qui voudrais soigner ce gosse

" Une rude épreuve, n'est-ce pas ?

Le calme après la tempête. Ce voyage dans le royaume elfique n'avait pas été de tout repos. La première chose que notre jeune étudiante avait fait à son arrivée : Se laisser tomber dans son lit. Ce n'était un secret pour personne, Akiza était une paresseuse née. Le moins d'effort possible je vous prie. Si seulement son travail était juste d'étudier afin d'enrichir ses connaissances. Elle le pouvait, jusqu'à ce que cette lame décide de faire sa propre loi. Pourtant, elle l'avait pourtant avertis, Outsider aussi. En tout cas...
Akiza était dans sa chambre, seule. Pourquoi avait-elle une chambre à elle alors que les autres avaient un dortoir. C'était l'ancienne chambre de sa mère, son héritage et dernier souvenir de ce qu'elle avait d'elle. Si seulement elle avait été plus forte, elle serait encore en vie! C'était de sa faute, oui. S'en voulait-elle, bien sûr. " A... A..ki..z-zza.." Oui, c'était son nom. Ce souvenir du jour où elle avait dit son propre nom pour la première fois était aussi ancré en elle que le jour où sa mère l'avait prise dans ses bras oui luo dire : Tu n'es plus seule, Akiza.
Elle devait faire revenir sa mère
À n'importe quel prix

" Qui es-tu, finalement "

Qui était-elle ? Sans réponse à trouver, Akiza cherchait dans tout les livres une réponse à ses questions. Comme son grimoire lui racontait l'histoire de sa vie. Quel réponse cherchait-elle ? Une raison de sa venue dans ce monde. Une raison de vivre, une raison d'être ? Des questions sans réponses dont elle haïssait tant. Seule, toujours dans son coin à lire et faire des recherches. Première de classe afin de se faire valoir. Aurait-elle échoué dans sa route afin de trouver une maison ? Pas vraiment, elle avait déjà trouvé une maison. Que cherchait-elle finalement ?
Quelque chose prenait le contrôle d'elle chaque fois qu'elle était en colère. Quelque chose prenait le contrôle de son corps chaque fois qu'elle se sentait humiliée : chaque fois où il y avait des mother fuckers sur sa route. Comme si Akiza ne serait qu'à une seule chose finalement. Fuck! Se disait-elle en frappant le mur de sa chambre.

Je n'écris pas de conte de fée.
Un chapitre douloureux s'annonçait devant elle. Froid et effroyable derrière ces mots dans un sang d'encre à travers son grimoire. L'histoire d'une ancien reine assoiffée de savoir rôdait à trafaire ce recueil. De ses sclères rose à travers d'un rideau neigeux. Ses iris rouges traversait la pénombre où ses pupilles dévoraient la lumière. Un savoir runique se pointait alors que notre jeune chercheuse cherchait à travers plusieurs recueil une réponse afin de ramener sa mère. Un cauchemars, oui. Un froid mortel, vraisemblablement. Ces créatures existaient donc. Jamais dans sa vie, Akiza croyait en rencontrer une.
Une liche.

Une fois dans la classe là où, en vrai, Akiza se sentait le mieux, comme si sa place se trouvait derrière quelques livre. Le sort qu'il voulait enseigner était la télékinésie. Quelque chose d'assez simple. Notre jeune élève au cheveux rose possédait déjà la pyrokinésie. Cela lui donnait une petite avance sur la théorie, sauf qu'il s'agissait de matière. Comme toujours, Akiza rêvassait en écoutant le professeur, la liche, parler. En plus d'écouter la théorie, notre jeune sorcière étudiait la liche du regard en faisant tourner un petit anneau de flamme autour de son index. Il faisait froid, mais ce n'était pas vraiment un problème alors qu'Akiza pouvait augmenter la chaleur de son corps afin de ne pas mourir de froid. Les autres tremblait afin de combattre le froid, d'autre gelait ; Akiza avait son visage posé dans le creux de sa paume de main. Un autre élève un peu plus téméraire osait naguer la liche. Imbécile! Cette créature ancienne possédait une sagesse presque infini! Malgré son immense sagesse, ce n'était pas une raison pour narguer cette créature! Surtout qu'elles étaient si rares! Évidement, elle perdit patience. Une autres créatures, un colosse, le plaqua au mur, se qui fit sursauter Akiza.
- Eek!   dit-elle alors qu'elle sorti soudainement de ses rêveries.

Visiblement, malgré sa sagesse, sa patience avait ses limites, comme tout le monde. Est-ce qu'Akiza devrait faire quelque chose ? Ce n'était pas son problème. C'était à ce petit con de se tenir droit et d'arrêter de jouer les petits malins. Néamoins, peut-être que sa méthode d'enseignement n'était pas la meilleure. Chacun sa façon, notre jeune première de classe avait mieux à faire. De toute façon, elle avait déjà la réputation d'être une égoïste imbus  d'elle-même. Ce petit con pouvait bien jouer avec son nouvel ami pendant qu'Akiza se leva en levant la main. Comme à son habitude où la base de ses fesses se révéla, Akiza s'inclina légèrement vers l'avant afin de demander une question constructive.

- Euh, avec tout le respect que je vous dois, j'aimerais savoir si votre sort, aussi basique soit-elle, peut permettre de déplacer des vieux artéfacts sans que ceux-ci corrompent les flux magie qui lient l'objet à l'utilisateur ?  

Une question aussi digne que sa réputation de fille " étrange ". Akiza n'avait pas mentionné le nom " runique " dans sa question afin de ne pas passer pour une folle à son tour. Déjà qu'elle possédait déjà un peu cette réputation, elle ne voulait pas l'étiquette sur le front. Parfois, ces élèves l'exaspéraient.

" Tu n'es là que pour me faire revenir à la vie "

La question de cette jeune dame était certe d'ordre pratique, mais la réponse était horriblement compliqué et y répondre encouragerais les jeunes mages en devenir a essayer si jamais l'occasion se présentais. La capture du roi était certe ennuyeuse, mais elle apporterais la lame runique au sein de cette académie. La liche, connaissant bien l'esprit de la lame, sentais une catastrophe sans précédant a venir et il ne pouvait, hélas rien faire pour le salut de cet établissement. Les humains et leurs monde sont déja condamné. Le royaume elfique bien affaiblie. Leurs stratèges voient la défaite d'Haros comme une victoire, mais ils se trompent. Ce roi est un génie comme il en existe aucun autre. Il prend ce qu'il a besoin et surtout, il a appris a donner. C'est ce qui le rend plus dangereux que tout. Il regarda Akiza de son regard glacial. Il prit une profonde inspiration avant de répondre.

-Il ne faut pas regarder le niveau du sort, mais celui du mage. C'est la grande différence entre la belle et grande directrice et vous. Oui, ce sort, aussi basique soit-il peu déplacer un artéfact aussi corrompu que celle que les elfes ont récupéré sur mon roi, mais il faut pas utiliser ce sort de n'importe quel manière. Je peux vous dire comment, mais je donne un avertissement: Jamais, au grand jamais, vous ne devez essayer, certains archimages peuvent échoué a cette pratique.

Suite a ce petit disclaimer destiné a mettre les élèves en garde, la liche fit les cent pas pour les laisser geler sur place puis continua son cours.

-Oui, la lame runique a le pouvoir de corrompre les flux magiques et OUI, il est possible de la déplacer sans être corrompu… c'est difficile, c'est long, mais c'est possible. Je l'ai essayé a l'époque ou j'avais encore des organes… le bon vieux temps! Il faut savoir utilisé les flux corrompu en gardant une barrière d'énergie qui sert a détecter le niveau de corruption dans le lien magique entre celui qui use de la télékinésie et la lame, une foi la barrière partiellement corrompu, il faut évacuer l'énergie corrompu, lâcher la lame, prendre une pause et refaire ce procéder une foi assez d'énergie magique pour le faire. Ce concentré sur trop d'information en même temps est difficile, mais voila, a la question: c'Est possible, je répond: Oui. D'autre question qui est surement hors de porter de votre niveau intellectuel et magique?

Il continua d'attendre et d'attendre encore. Regardant les élève usé de leurs magie pour ne pas succomber a ce froid mordant inspiré du nord. Il repris, en déposant une pierre.

-Qui pour me faire une petite démonstration? Ensuite, je vous invites a lire les cinq pages au sujet de la télékinésie, vous en aurez besoin. Il y aura un questionnaire. si l'ancre de vos plumes gèle... débrouillez-vous, ce n'est pas mon problème.

" Voyons voir ce qu'il a en réserve "

Il faisait froid putain! C'était difficile de se concentrer sur ce teste. Il ne voulait pas baisser la température cette foutu liche ? Ses yeux se tournèrent pour regarder les autres. Tout le monde grelottait à cause de ce froid. La liche voulait les tuer ou quoi ? Akiza tentait de l'écouter lorsque le professeur disait que qu'il était possible de déplacer certain artéfact avec la télékinésie. C'était bon à savoir. Une chose fondamentale suivit, la corruption pouvait aussi se transmettre par les flux. Eh merde, sauf que, avec un bouclier, il était possible de contourner cela. C'était une vraie plaie cette corruption, cette liche en savait effectivement beaucoup. Elle venait vraiment du royaume runique, car tout ce qu'elle avait dit, Aki l'avait vécu dans le royaume des elfes. Akiza avait une hypothèse, mais cette théorie fut confirmée, la corruption peut se faufiler par les flux magique comme une infection. Si seulement elle avait pu voir l'infection à l'oeuvre.  
Quelle était les étapes de la corruption ? Comment se développait-elle ? Comment se répendait-elle ? Il y avait tellement de question dû à cette corruption. Tout ce qu'elle savait, c'était qu'elle ne pouvait pas se répandre là où les matériaux étaient runique : L'académie. Et que l'épée pouvait corrompre à un simple contacte ou trop près durant une longue durée.
Sauf que
Il y avait un moyen, il y avait une cure. Draigh était parvenu à renverser la situation.  Notre jeune élève prit des note dans son grimoire. Si l'encre est gelée se n'est pas mon problème. Tssk! Pour qui elle se prenait cette liche! Notre jeune allait lui prouver qu'on ne la sous-estimait pas! Ce n'était pas une liche de quelque millénaire qui allait se jouer d'elle. Ça c'était sûr. Ses yeux se levèrent vers le professeur. Ce n'était pas sûr, c'était une vérité écrite.

Le cour continuait et la température baissait. Notre jeune sorcière mit ses mains entre ses cuisses afin de réchauffer celles-ci, par la même occasion, ses yeux se tournèrent vers cette roche de taille moyenne. Pourquoi avait-elle laissée ça là ? Voulait-elle qu'on la lève avec la télékinésie ? C'était étrange, tout ce cour était étrange. Quelque chose se tramait, cette roche n'était pas là par hasard et de plus, ce n'était pas une roche d'ici. Cette roche semblait venir du royaume runique d'antan. Cela pouvait se voir facilement pour notre jeune élève qui avait toujours la tête dans les livres. Ses yeux se tournèrent vers d'autres où, ces derniers, semblaient aussi perplexe qu'elle, d'autres n'y faisaient pas attention. Quelle bande d'inculte! Ce cour possédait bien quelque chose d'étrange. Bien évidemment, il y avait des cancres du fond de la classe, mais ce cour semblait trop simple.
Notre jeune élève commença à frotter ses mains contre l'intérieur de ses cuisses. Tssk! Merde. Ça ne pouvait pas durer indéfiniment comme ça! Déjà qu'elle tentait de produire sa propre chaleur par la friction au lieu d'utiliser sa magie totalement.
Par chance, Akiza possédait une mémoire extraordinaire, par chance, elle pouvait finalement prendre des notes entre deux moments de latences.

Un court moment, ses pupilles se rétractèrent, comme un reptile.
- Tssk! merde.. que ce cour est pénible. Dit-elle en continuant de frotter ses mains contre ses cuisses.