Copier les ouvrages les plus rare. C'est quelque chose de fascinant! Mais, pas dans ce cas, les écrits faisait froid dans le dos. La plus part des malédiction du grimmoire d,Azmoroth était bien destiné a faire subir les pires tourments a sa cible. Dans quelques cas, c'était presque drole... un humour sordide. C'Est avec frayeur que je recopiais certains sort de ce livre. Pour conserver le savoir. Surtout pour pouvoir en trouvé des remèdes, des contre-sort viable.
La malédiction des insectes... L'une des pires. Destiné a rendre fou les esprits les plus solide. L'impression de se faire mordre, grimper dessus, subir des douleurs pour quelque chose qui n'arrivait pas. N'importe qui deviendrait complètement dingue. Ou le classique: Brulure éternel. Une impression de bruler vivant... sans que cela n'arrive, question d'infliger l'une des pires douleurs à sa cible. Tous de terrible châtiment. RIen d'amusant. Tout était terrible. Son histoire elle, était fascinante. L'histoire d'un homme dominé par les femmes. Un homme qui a vécus la misère pure et dur! Il raconte un événement bizarre. La visite d'une liche chez lui. Un être qui lui aurait promis la force de vaincre ses geôlières en échange d'une preuve d'allégeance. Ce type a vendu sa mère tyrannique en offrande a cette liche. A partir de ce moment, plus de retour possible. La liche a alors disparu lui laissant une dernière épreuve: Retrouvé Bermudes, faire face a tous les dangers, savoir comment y parvenir. Malgré plus de dix ans de péripétie, il retrouva ce maitre perdu qui lui enseigna l'art des malédictions, la magie noir, l'invocation ainsi que la base d'un grand mage. Je vous le donne. Il a défié les femmes de sa famille de le retrouver loin de l'arbre pour une dernière réunion. Il les a massacrés sans foi ni lois. Tout ceci pour obéir à ses propres lois. C'est l'une des gardiennes qui a fini par avoir raison d'Azmoroth, mais la liche a réussi in extremis a le sauvé en préservant l'âme de ce mage dans son propre livre, assurant a celle-ci qu'il ne causerait plus d'ennuis. Rares était les livres a en parlé. Je parle des gardiennes. La fin était signée de la main de Bermude lui-même. Comme s'il n'avait pas pu laisser ce récit sans fin. Étrange...