Oh mon dieu. Oh mon dieu. Oh mon dieu. Oh mon dieu. Oh mon dieu. Akiza n'arrivait pas à y croire. Assistante, elle ? Surtout que c'était l'assistante de la liche. Ce n'était pas rien. C'était même un énorme pas en avant! Notre jeune sorcière ne savait pas trop par où commencer. Il fallait qu'elle fasse quelque chose afin de l'impressionner afin de lui montrer ce qu'elle valait réellement! Ok, la liche l'avait aidé lors de cet accident avec le professeur avant que ses souvenirs deviennent troubles. Évidemment, Aki était spéciale, c'était de son devoir de la défendre.
Elle ne pouvait l'impressionner avec ses sorts. C'était sûr à cent pourcent que cette créatures mystérieuse connaissait des sorts infiniment plus complexes. Ses recherches sur certains artéfacts pourrait être fort intéressante ?  Encore là. Cette liche était extrêmement vieille... Ce n'est pas une 20taines de pages sur un artéfact qui allait l'impressionner...
Notre jeune nouvelle assistante faisait les cents pas dans sa chambre en tournant autour de son tapis ayant la même forme.
Réfléchir. Réfléchir. Il y avait sûrement une moyen. Il y avait une solution à tout. Dans sa tête. Dans sa tête en train de chercher la solution la plus optimale jusqu'à ce que, comme à son habitude depuis à peu près un mois. Un main saisit l'une de ses fesses sous sa jupe.

- Eeek!!   Fit-elle en se retournant et en ordonnant à la sa sentinelle qu'elle avait reçu depuis son nouveau titre d'activer le collier de Sazz.

Ensuite, Akiza posa son pied sur la main de Sazz une fois que celui-ci était au sol. Il n'y avait que lui pour agir de la sorte. Il n'y avait que lui qui était assez pervers pour se faufiler en douce pour lui aggriper les fesses. Une petite pression s'exerçait de plus en plus sur la main de son larbin. Elle ne voulait pas le blesser, mais au moins le faire parler. Comment avait-il réussi à se faufiler dans sa chambre ? Elle vit Sazz lever la tête afin de croiser ses yeux. Il souriait ? Comment pouvait-il trouver ce moment drôle dans cette posture. Notre jeune sorcière la fusillait du regard avec un regard de feu.

- Belles lèvres, hé hé. Toujours pas de culotte ?

Akiza écarquilla les yeux en enleva aussitôt son pied de la main de son larbin. À ce même moment, elle couvrit sa petite fente avec la base de sa jupe avant de se retourner dos à lui.

 - Ne fais pas genre. Tu le sais très bien! Comment es-tu entré ici, comment as-tu fait !?

- Bah... Dit-il en pointant la porte. Ta porte était toute grande ouverte, Akiza.

- Et comme ma porte est toute grande ouverte, cela te donne droit de me pogner les fesses !?  

- Akiza, soupira-t-il. Tu le sais que je l'ai déjà fait pendant plus d'une heure consécutive. En fait, tu avais l'air anxieuse, donc je voulais te faire un petit coucou, rien de bien méchant.

Akiza ramena ses cheveux afin de les aggriper, comme si il s'agissait d'une écharpe rose. Cela se voyait tellement qu'elle était anxieuse ? Il était vrai que ça vie fut mouvementée il y a peu. Une professeur avait été assassinée lors de son voyage dans le royaume runique. Un professeur avait essayé de la violer, et maintenant elle était l'assistante d'une liche, qui plus est, était une professeure de l'académie. Celle-ci devait être encore plus stricte qu'Akiza envers Sazz. Ses yeux se détournèrent des yeux de son larbin. Ils avaient appris à se connaitre, visiblement. Malgré ses airs snobismes, il savait qu'une fois anxieuse, son masque tombait assez rapidement lorsqu'elle n'avait plus le contrôle de sa situation. Il lui fit un sourire et posa sa main sur sa tête. Notre jeune nouvelle assistante tourna ses yeux vers lui.

- Tu vas y arriver, tu es la meilleure élève, la directrice ne t'a pas choisie pour rien. Dit-il afin de la réconforter.

Quelque part, elle savait qu'il avait raison. Il voulait la réconforter et il réussissait comme un chevalier sur un cheval blanc. Akiza le jugeait donc mal ? Visiblement, il n'était pas qu'un pervers qui existait pour seulement lui aggriper les fesses. Un moment de silence plus tard, elle hocha la tête  afin de briser ce même silence qui rendait l'atmosphère lourd.

- Oui! Dit-elle en souriant gracieusement.

Sazz poka ensuite le sein d'Akiza qui, elle, le couvrit immédiatement après. Il était tant qu'elle commence à ce préparer. Elle ne pouvait pas se permettre d'arriver en retard alors que c'était sa première journée en tant qu'assistante! Notre sorcière devait impérativement faire bonne impression, elle n'avait pas le choix! Une fois retournée face à son miroir, Akiza se remplaçait ses long cheveux roses avant de passer une coup de brosse. Sa chevelure et ses vêtement devait être parfait. Akiza devait assister au cour de la liche, mais aussi l'aider dans diverse tâche, comme dans ses travaux. Akiza allait devoir aussi apprendre à améliorer sa patience lorsqu'elle allait aider les élèves... Ça va être chiant. Si elle voulait devenir professeur, elle n'allait pas avoir le choix de travailler sa patience.
Une pile d'examen qu'elle avait dû corrigé hier soir, par chance, monsieur Wilforth lui avait déjà montré comment faire lorsqu'elle restait après les cours. Il avait ses bons côtés — non, il ne fallait pas penser à cela, surtout après ce qu'il lui avait fait.
Notre jeune nouvelle assistante prit la pile d'examen qu'elle avait corrigé en espérant qu'elle n'avait pas fait d'erreur stupide.

- Il faut que j'y aille. C'est bientôt l'heure  , dit-elle en tournant doucement le regard vers lui.

- Oui. Tu peux le faire, j'en suis sûr!

Akiza lui fit un sourire avant de partir. Sazz avait juste à s'assurer de bien verrouillé la porte. C'était en quelque sorte sa seule tâche de la journée. Aujourd'hui, Akiza n'avait pas de temps pour faire autre chose. C'était quand même sa première journée en tant qu'assistante. Quelque couloir plus loin, et bien entendu 2 étages plus bas... pourquoi descendre... Akiza arriva dans la classe de la liche une heure d'avance afin de s'avancer dans ses futurs travaux.
La classe était vide, il n'y avait personne, même pas la liche. Par chance qu'elle avait la clef, sinon notre jeune sorcière aurait attendue dehors comme une belle tarte. Un silence froid et mordant. Quelque chose à donner froid dans le dos. Il y avait tellement de trucs étrange sur ce bureau. Akiza s'approcha lentement afin de les observer de plus près. Étrange objet. Sa curiosité la poussait à vouloir y toucher, mais elle voulait tellement faire bonne impression qu'elle ne fit rien finalement. Seulement observer les divers objets. C'était quoi ce truc dans ce bocal ? Un doigt à moitié décompo, fendu — était-ce le doigt de monsieur Wilforth !? Ses yeux magenta se déformaient derrière chacun de ces flacons. Penchée fesses à l'air. Même son alter-égo commençait à trouver la vue de ces objets fortement intéressant.

- Dis donc, on dirait qu'il a prit un échantillon de notre cyprine.

Aussitôt. Comme si rien ce c'était passé. Akiza observa le genre de flacon où reposait un liquide étrange orangeâtre.

- Huh, c'est un slime ou quoi ?    Dit-elle en touchant la substance du bout de ses doigts.

Nouvelle apprentie, même destin. Comment dire. J'ai été forcé a prendre cette disciple. Lui faire cadeau de mon savoir, lui enseigner l'art de la connaissance. Sa curiosité était bien loin de celle qui fut mienne au moment ou j'avais son âge. J'étais en faite mille fois pire qu'elle. La mienne n'avais aucune fin. Je prenais, a l'époque des risque inconsidéré dans le but de savoir de nouvelle chose! Je savais quand même a quoi m'en tenir avec celle-ci. Elle fouillerais surement dans mes affaires. Sauf que... je ne suis pas comme n'importe quel enseignant. Elle se souviendrais longtemps de ne pas fouiller mon bureau si jamais elle venait a s'y essayer. J'avais décumulé de nombreux secret ainsi que des trucs... sans trop de valeur, comme la substance qu'avait crée Akiza lors de ma mort.

Je pouvais voir ce qui se passait dans le bureau. Elle regarda mon ancien disciple. Bakir, devenu un grand mage, le genre de mage qui a rien a envier aux autres. Sa particularité? Une haine vicéral pour la race humaine ainsi que leurs représentation. Elle toucha la substance visqueuse, innocemment. j'activa les cellules liquide, jusque la inactive. J'étais l'autre coté de la porte, un sourire machiavélique au lèvres. Le slime posa un vif regard a Akiza avant de simplement disparaitre. Il activa un sort qui créa l'impression que la voix venait de toute les direction

-Pour avoir troublé mon sommeil, pour le crime d'être humain, Moi, Bakir, te condamne a mort, GOUTE LA PUISSANCE DE L'ANCIEN MONDE CHAROGNE D'HUMAINE.

Une énergie colossal commença a envahir les lieux, celle d'une entité rare qui commençait a apparaitre. Il appelait Yogg Saron... J'entra dans la pièce et lança un sort de silence a Bakir, je voulais lui faire peur, pas la tué non plus. Je dissipa le sort qui animait cette partie du slime puis regarda Akiza d'un regard furieux. Je fis descendre la température a celle de -20. Encore une foi, pour ne pas la tuer, mais lui faire comprendre ma colère.

-Qui t'a donné le droit de toucher a mes affaires! Ce Slime est dangereux. Il aurait pu te tuée! Quand on ne connais pas, on ne touche pas! Je me fais bien comprendre!

Quel étrange objet, se dit-elle en observant le liquide orangeâtre. Ce n'était pas un slime... c'était autre chose. La substance semblait un peu visqueuse. Où pouvait-on trouver une telle substance ? Un résultat entre deux éléments alchimiques. C'était à étudier tôt ou tard. De toute façon, Akiza devait apprendre ce que possédait la Liche afin d'en savoir plus dans le futur. Prendre des futurs notes afin de s'assurer que certains objets pouvaient être potentiellement dangereux. Oui, dans l'académie, il y avait des objets, des reliques et autres choses dangereux, mais ces derniers étaient souvent protégés.
Si la Liche possédaient ce genre d'objets, elles seraient tous sous clef, n'est-ce pas ?
En tout cas, c'était ce qu'elle espérait fortement.
Et ce, non-seulement pour sa sécurité, mais celle de tout les élèves.
En note, Akiza ajouta une petite close comme quoi que les objets potentiellement dangereux allait devoir être scellés ou sous clef.
À côté de la substance orangeâtre, tourna les yeux et vit une autre substance étrange. Dangereuse ? Sûrement, avec une plume, elle regarda si c'était corrosif.
Hum, Fit-elle.
Légèrement corrosif, mais pas de quoi alerter quoi que se soit.
Notre jeune nouvelle assistante se retourna afin d'être face à la lumière afin de mieux écrire. Puis, un bruit qui la figea sur place.

Une ombre. Celle-ci s'étira afin de l'enrouler autour de sa taille. Akiza, paniquée, se figea jusqu'au moment ou elle se sentit traînée vers lui. Par réflexe, notre jeune sorcière retint sa jupe. Qu'est-ce que... Une créature à peine perceptible venait de l'attraper, mais aussi, elle parle et la menace. Paniquée, Akiza se débattait, mais sa succès, c'était une force invisible et insensible ou quoi ? Elle ne savait même pas où frapper ou si elle était sensible à la magie ou non. Traînée vers elle, encore et encore, ses pieds et ses jambes ne pouvaient pas résister à cette force. Akiza pensa aussitôt à un esprit, un Poltorgeist ou encore à un revenant. Pourtant ce genre de créatures étaient rarement dans ce monde. Elle résistait, mais en  vain, notre jeune sorcière n'était pas la personne la plus forte, une constitution un peu supérieure à la moyenne selon une magicienne ou une sorcière, mais c'était pour maintenir son corps en santé, rien de plus. Sa main ouverte face à cette substance, Akiza était prête contre son gré à se défendre avec sa magie.
Pourquoi rien ne sortait de la paume de sa main. Encore... encore cette peur d'utiliser la magie pour se défendre. Sa main tremblait légèrement. Notre jeune sorcière ne pouvait pas!
La Liche intervint à temps. D'où venait-il ?
Aki fut aussitôt projetée plus loin et retomber sur les bureaux des élèves.

" Idiote! Dois-je te rappeler que mon corps est ton corps ? Que si JE meurs TU meurs ?Que TA misérable existence est considéré tolérable grâce à moi !? "  

" ... "   , elle ne disait rien pendant qu'elle se faisait engueuler

" J'aurais dû te dévoré quand j'en avais eu l'occasion!

Une paire de yeux rouge cramoisi apparue au-dessus d'elle. Ce regard menaçant prêt à tuer n'importe quand ; Akiza regarda cette même paire de yeux sans rien dire, toujours aussi tourmenté par cette dualité chez elle. Une force étrange agrippa son cou. Gémissement de douleur et un mal de fou à respirer. Qu'est-ce que – Les yeux d'Akiza s'écarquillèrent lors de cet étranglement. Un sourire satisfait se dessinait lentement au-dessus d'elle.
Un cri à plein poumon qui la réveilla sur le coup.
Essoufflée et pratiquement en sueur, sa poitrine se gonfla à plusieurs reprises au rythme acharné de sa respiration. Levant les yeux vers la liche qui venait à peu près de lui sauver la vie. Stupéfaite par ce qu'elle venait de vivre, elle se demandait qui était le plus dangereux dans la pièce.
Pourquoi ne pouvait-elle pas parler maintenant ?
Toujours sous le choc.

Les tables allaient être à remplacer. Heureusement, Akiza n'avait rien de casser, mais elle allait avoir fortement des courbatures. Une fois debout, notre jeune sorcière redescendit sa jupe pour recouvrir ses fesses et son intimité. Ses vêtements étaient un peu déchirés, mais elle pouvait facilement réparer ça. Les avertissements de la liche avait plus ou moins de sens. Oui, notre jeune assistante avait eu tord, mais ce genre de créature ou autre devait être en lieu sûr, pas dans une classe! Elle se montrait un peu désolée, mais elle croyait bien faire, en tout cas, à sa façon.

- Je ne pouvais pas savoir, d'accord !?      s'écria-t-elle aussitôt levé. De plus, c'est quoi cette idée de laisser une créature spectrale remplit de rancoeur dans un contenant! Vous savez que cette chose est dangereuse. Alors pourquoi elle n'est pas scellée, hein ?  

Finit-elle alors qu'elle retenait sa jupe un peu déchirée, comme ses vêtements, où non loin de là se trouvait son bloc note où était inscrit la liste de ses idées.