" Là où est semé la graine du chaos, vous en récolterez là corruption! "
- Draigh Gildenroot

Là où reposait les druides qui parlaient et défendaient se trouvait une lame maudite. Aussi mystérieuse que malsaine, plusieurs ont essayés de la contenir de semer les graines de la corruption. Maligne et insidieuse, personne ne savait qu'elle  serait capable d'aller aussi loin dans ses machinations malsaines, comme si l'artéfact possédait sa volonté propre. La reine, étant consciente du danger, avait mise la lame en ce lieu, heureusement. Par chance qu'elle possédait une intuition digne de son statut.
Malheureusement, le pouvoir de corruption de cette lame fur malencontreusement sous-estimée. Alors que la forêt luxuriante se voyait déjà être en colère, l'un de ses plus grands adorateurs fit l'acte la plus impensable : corrompre ce dernier.
Dans une quête où la reine doit raisonner Beowulf qui, lui, est entré dans une colère digne d'un Berserker, L'académie décide donc d'agir afin de préserver leur image de " support politique ".
Haros maintenant libéré, aidez-les à le remettre derrière les barreaux et aidez-les à retrouver ce traitre.


Boss : Draigh Gildenroot
Race : Elf
Classe : Arcdruid
Action : 2
Dégât : 20 - 25
Pv : 650
Mana : 700
Stamina : 130

Vol, cet créature ( boss ) peut voler

Sort - Éruption de corruption
Draigh plante Sanguinium afin de faire jaillir de terre plusieurs pieux autour de lui. Ces pieux infligent des dégâts de corruption.

Sort - Mur de corruption
En donnant un au sol, Draigh parvient a créer un mur solide afin de se protéger des attaques.

Sort - Sacrifice corruption
Draigh, en aggripant l'un de ses sbires corrompus, il sacrifie ce dernier afin de récupérer 200% de ses PV afin de régénérer ses PV ou Mana.
Requiert un sacrifice.


-Récompense :
- 80XP
- Niv sup. pour un sort/capacité

- Laissez moi voir l'épée, je vous prie

Il y avait peut-être encore une chance de la contenir ajouta-t-il à l'enseignante qui gardait l'épée en sûreté. Ce coffre était-il vraiment à l'épreuve de l'énergie néfaste de cette épée ? Draigh, de son côté aussi, étudiait cette épée. Il savait les risques qu'elle courait d'être seule avec. Une seule petite faille dans le coffre suffisait pour la mettre en danger. L'archdruide s'approcha du coffre en question pour ensuite mettre la main sur celui-ci. Son regard attristé par les événements en disait long sur lui. Beaucoup de ses druides c'était épuisés à la tâche afin de la contenir. L'épée devait quitter la forêt, mais à quel prix ? Il agissait bizarrement.

- J'ai entendus sa voix, dit-il en brisant le sceau qui retenait le coffre fermé.

Les deux gardes qui gardait les lieux sûres se rurent afin de l'arrêter, mais il était déjà trop tard. Des filaments noir s'attachèrent à l'archdruide afin de le corrompre. Sa transformation, autant grotesque qu'horrible, lui donnait l'apparence d'une vraie abomination. Ses yeux jaunes visqueux, une apparence difforme. Les gardes arrivèrent vers lui et aussitôt, ils furent enracinés pendant qu'il lui restait encore ses pouvoirs de druides. Lui s'approcha, doucement, l'épée en main qui traînait au sol. Aussi lentement que son approche, il planta l'épée dans le ventre du premier garde
- Sshh, c'est bientôt terminé. Nous allons quitter cet endroit maudit, dit-il en essayant de réconforter sa première victime sous les yeux de son confrère et l'enseignante terrorisée.

Elle voudrait bien fuir, mais si elle le faisait, elle mourrait à coup sûr. Qu'est ce qu'elle pouvait bien faire ? le raisonner ? La blessure commença à se corrompre, ensuite elle se répendit rapidement pour transformer le garde. Alors qu'il était en train de corrompre le deuxième, l'enseignante lui demandait évidemment d'arrêter. Arrêter ? Il s'approcha évidemment, autant qu'elle allait se défendre en lui envoyant des boules d'énergie arcanique. Un mur noir et visqueux se leva afin de protéger le dépositaire de l'épée et ce même mur se déplaça afin de plaquer l'enseignante contre le mur pour ensuite l'immobiliser.
- Vos boules d'énergies sont vraiment puissantes vous êtes effectivement digne de votre rang à l'académie.

Les yeux de l'enseignante devinrent soudainement violet accompagné de petite étoiles. De ses yeux, un puissant rayon se déferla à tout vitesse. Un autre mur se leva aussitôt pour protéger le dépositaire.
- Je vois, ajouta la lame alors que le mur se démantelait lentement. Ce rayon attaque à l'échelle atomique avec des rayons gamma. Si tu ne t'avais déplacé par ton réflexe, tu serais mort, Draigh.

- J'ai cru remarquer, ce rayon détruit les cellules, donc empêche la régénération. En tout cas...

L'enseignante semblait complètement exténuée, elle venait d'utiliser son sort ultime de dernier recour. Draigh regarda le sol, il était profond. Il y avait eu des victimes du rayon. C'était sûr. Elle venait de blesser l'arbre et ce trou n'allait pas se régénérer de si peu. L'archdruide devint complètement fou. L'épée se planta direct dans le tronc de l'enseignante alors qu'il l'engueulait de mille vices.
- Toi! Tu seras à moi dans l'autre monde, ajouta la lame.

L'enseignante gémit de douleur. C'était son tour.
Les gardes avait pour ordre de reprendre l'infection. Draigh avait finit ici aussi. Il se rendit jusqu'à la prison lors de la panique générale. Plusieurs gardes commençaient à être infectés. L'archdruide libéra ensuite le prisonnier, mais malheureusement, il ne savait pas comment retirer ce collier. Il en était désolé, afin de remédier à ce problème, il allait faire diversion grace au pouvoir de l'épée.

Outsider a suivi le signal de l'épée grâce à son orbe. Il était effectivement trop tard comme dans ses visions le mal étais fait. S'il pouvait le localiser cet artéfact d'autre l'ennemi le pouvait. Le guerrier fourbe se dit qu’il se devait de protéger le peuple. Il  évacua les civils, au cas où et surveilla l'ennemi de loin grâce à son orbe. Il était prêt à assigner le coup grâce ou de faire redescendre sur terre Draigh grâce à ces pouvoirs de téléportation.

Outsider voyant les dégâts voulait presque pleurer un scénario presque similaire que dans son monde natal se reproduisait. Il prit une pause presque solennelle  pour essuyer ses larmes derrière son masque.

Il vit un survivant de l'attaque qui lui raconta tous les événements. C'étais cette enseignante, elle gémissait  de douleur. Outsider lui donna de quoi faire passer son mal en patience et la téléporta jusqu'à l'hôpital en utilisant de technique de téléportation, ainsi que de  fourberie pour rester dans l'ombre. On ne sait pas qui peut s'avérer un ennemi corrompu.

- Tout ce que  je peux faire c'est utiliser la situation à mon avantage, j'ai donc  besoin de beaucoup de renfort, dit pensif à haute voix Outsider.        

Il utilisa sa technique spatiale-temporelle Dimension du grand vide  pour communiquer à   Saéline. Dans cette technique le temps et l'espace non aucun sens, c'est le  vide et pour contredit le tous il est grand.  Ainsi Outsider peut parler indéfiniment dans la dimension sans limite de temps ou d'espace.

- Miss Saéline mes craintes son fondé l'épée et le prisonnier sont volé. Il faut que vous sonniez l'état d'urgence. La forêt va bruler par la corruption, dit outsider paniquer à la reine.

J’ouvre les yeux. Les diverses races d’arbres elfiques qui se trouvent autour de moi me fixent avec inquiétude alors que j’inspire profondément et prend conscience de chaque molécule d’oxygène qui s’intègre à mon système sanguin. Je regagne une ferme notion du monde qui m’entoure et me remets sur pieds: mes séances de méditation ont gagnés en facilité avec le temps; ma concentration dure plus longtemps que jamais.

Je cligne des yeux, mon esprit préoccupé. Je jurerais avoir ressentis une force étrangère se mêler aux particules environnantes. Mes connaissances sur les éléments ont grandement augmentées depuis le commencement de ma quête mais rien de ce que j’ai appris ne correspond a l’effrayante nature de ce que je viens d’observer. C’était tout comme si les systèmes nerveux des arbres avaient tous été attaqués au même moment par une sorte d’infection sous la forme d’un élément tout a fait nouveau. J’ai soudainement un malaise; l’événement m’ébranle jusqu’à la nausée.

Coeur battant, je concentre mon attention sur l’écorce d’un conifère et, de mon regard, déconstruit la composition de l’arbre. Les molécules se présentent à moi de leurs incandescences éthérées respectives et j’aperçois l’élément inconnu. Celui-ci se propage d’une particule à l’autre d’une aisance alarmante. Je contemple leur progression pour un moment puis, troublé, relâche ma concentration. La cause de ce genre de mutation est visiblement à grande échelle vu l’étendue de sa porter et je crains pour la santé de la nature.

Je considère la situation: d’une part, ma crainte, mêlée de mon insatiable curiosité, me pousse à rechercher la source de la mutation. D’une autre, l’importance de la quête à laquelle je me suis voué m’exhorte à la poursuivre sans interruptions. Songeur, je reprend place sur le rocher m’ayant fait office de banc quelques minutes plus tôt. Mon regard dérive sur ma sombre armure, la preuve menaçante de mon état d’âme. Le calme océan de rage qui m’habite ne fléchit pas devant mon incertitude mais m’accorde gracieusement un temps de répit, si ce n’est que pour cette fois.

Ma décision est prise. Je me lève et revêtis ma lourde armure, perdu aux tréfonds de mes pensées noirs. Autour de moi, les arbres se dénuder graduellement du bleu de ma luminosité corporel alors que la vue de ma chair leur est retirée. Mon casque s’emboite hermétiquement dans la jointure au cou de ma cuirasse et, accompagné par le cliquetis de métal contre métal, j’entreprends mon voyage. Les particules étranges semblent plus nombreuses à l’ouest de ma position et je m’y dirige donc sans plus tarder.
La cadence de mes pas entrecoupée du grincement de mon armure résonne au rhythm des lentes pulsions de rage qui me dirigent.

“Soyez patient, mon père: votre heure ne saura tarder.”

L'épée venait de frapper un grand coup. Je savais cet objet puissant et que nous ne pourrions la retenir plus longtemps. J'avais donc décidé de la déléguer à qui de droit et de plus, une force neutre. Les elfes ne paraitraient pas assez débiles pour avoir essayé de jouer avec Haros aux jeux des flammes. Ce fou venait de s'évaser. Un danger pour le royaume. L'arbre de plus commençait à corrompre lentement, mais surement. Par chance le contact n'était pas assez long et l'arbre restait fort. La tension était palpable au coeur de l'arbre, le capitaine de la garde royal vint me faire un rapport de la situation. Je connaissais la situation...

-Va mettre les civiles à l'abri, pour le moment, je dois m'occuper d'une affaire plus urgente.

Je pris mes dagues et il rétorqua d'une voix sévère:

-l'arrestation de l'artefact runique est la priorité numéro un, sauf votre respect.

Je me retournai vers lui, planta, pour l'une des rares fois un regard glacial dans ses yeux. Pointant les stigmates sur l'arbre qui commençait à se répandre d'un air tout aussi sévère. Je réfléchis un minimum mes paroles et lui répondit immédiatement

-si jamais on laisse Beowulf en liberté avec l'état actuel de l'arbre, il pourrait bien vite devenir notre pire ennemie "sauf votre respect" allez donc voir les autres membres de la chaine de commandement de l'armée et préparez vous a combattre l'archidruide. Utilisez les moyens létaux seulement si nécessaire. Malgré l'urgence de la situation, étudier les effets de cette corruption pourrait nous permettre de mieux le comprendre afin de le combattre. Après, c'est votre travail. Je vous rejoindrais avec Beowulf plus tard.

J'allais partir, j'entendis un soupir qui ne me plaisait pas. Je ne me retournai immédiatement même pas vers lui, tout était une question de seconde. Je partis avec ma vitesse habituelle au travers les arbres, un collier prototype de l'académie a la main. Par chance, le pendentif de ma mère m'avait offert me permis rapidement de repérer Beowulf en pleine crise de nerfs.

Il allait vraiment devoir apprendre à réagir autrement . J'allai , contraire au sens du vent pour qu'il ne repère pas mon odeur, question de le prendre par surprise. Si ce collier ne fonctionnait pas, je devrais sans doute grimper aux arbres et fuir pour éviter de le tuer et prendre beaucoup trop de temps pour lui calmer les nerfs.
Je m'approchai de sa nuit prématurée. Ce collier ainsi que mon flair animal était utile. J'ouvris le collier alors qu'il rageait contre absolument tout pour finalement lui sauter dessus a toute vitesse et de refermer ce foutu collier, prenant simplement le temps de reculer a une distance sécuritaire.

-Alors Beowulf, c'est tout? On a besoin de toi et comme un enfant, tu vas gémir ailleurs, menaçant de nombreuses vies? Malheureusement, avec l'importance que tu as, j'ai, a chaque foi, pas le choix de me déplacer pour te calmer. Et en suite, te raisonner pour retourner là où les gens ont besoin de toi. Haros a tué ma mère et commence à souiller l'arbre de vie. Son outil est encore ici. Toi, tu n’es ni aux trousses de ce fourbe ni avec nous à combattre le druide corrompu. Sois tu te réveilles et tu nous aides, sois je te laisse ce foutu collier affin que tu puisses au moins ne pas tuer tout ce qui bouge.

Une créature de 7 pieds qui se promène en mangeant des baies dans sa propre forêt.  C’est le fameux loup-garou que Saéline aperçoit de loin, Beowulf la senti de loin alors il va la voir pour lui demander c’est pourquoi qu’elle est venue.

Elle répond: Beowulf, je suis venu te donner un radan et si tu poses la question comment je t’ai trouvé, c’est grâce au collier de repérage.

Beowulf lui répond en disant: qu’il n’est pas intéressé par peur et parce qu’il ne connaît pas ce qu’est un radan et que ce n’était pas nécessaire d’utiliser un collier de repérage pour retrouver n’importe quand Beowulf.

Séaline voit l’interrogation sur son visage, alors il dit:  - qu’un radan c’est un anti-magie pour empêcher sa transformation.

Beowulf entendant cela il voulait tout péter dans la forêt, alors il partit à toute vitesses mais juste avant cela, il regarde Séaline avec un regard d’arrogant et qu’il dit:  - voulait pas se sentir privé de vivre à cause d’un radan.

Saéline essaye de le faire comprendre que c’est pour le bien de tous et lui dit:  - que ça va aider ton côté qui est sombre en toi que tu veux contrôler depuis toujours et j’aimerais t’aider si tu me permets.

Beowulf repense à son offre, il accepte son radan, mais à condition que si ses vraiment nécessaires d’utiliser son côté sombre contre le monde qu’il veut sa mort ou qu’il le menace.

Saéline lui répond avec logique évidemment:  - que tu vas pouvoir te défendre mais tu fais peur quand tu es sombre je veux juste ton bien.

Beowulf répond: d’accord.

Au moment qu’il le mit sur lui autour de son coup il a senti un petit choc qu’il le traversant le corps au complet, mais cela n’a pas duré longtemps et l’apprécia déjà, mais il ne disait rien de tout ça a Saéline, mais il lui dit:  - merci.

J'avais envoyée ma meilleure amie avec l'une de nos meilleure élève si ce n'était pas la meilleure. Je n'avais pas le droit moralement. T'en pis. J'envoya un orbe de lumière a travers le portail qui menait au royaume des elfes. La scène étant à glacer le sang. La lame corrompu dans la tête de l'enseignante. Je traversa le portail puis le druide était déjà partis… Je regarda l'enseignante morte, une larme a l'œil, repose en paix. Akiza n'était pas dans l'arbre? Elle était où? Elle allait en entendre parler. Elle aurait du resté avec elle, mais pour le moment, elle devait être mieux là ou elle était. Je pris mon bâton de mage et commença a incanter un sort de repérage. Un sciage doré commença a apparaitre vers l'endroit ou cet immonde artéfact était partie. Bonne chance pour lui de fuir.

-Tout ceux qui veulent participer a la chasse du druide corrompu, suivez le trajet en or. J'aimerais qu'un elfe transporte ma défunte amie morte pour votre royaume a l'académie par le portail.

J'incanta puis mon hymne divin commença a faire effet: Les blessées commençaient a retrouver de leurs vigueur. Constatant qu'ils étaient quasiment tous sur leurs jambe, j'emboîtai le pas tout de suite avec ceux voulant défier le druide corrompu. Leurs reine serait surement contente de voir que j'allais aider leurs royaume.

-Si jamais il y a des vampire, démons, mort-vivant avec nous, ne restez pas sur mon chemin, vous serez prévenue, je ne serais pas responsable de vos blessures

Ce Beowulf n'avait rien de spécial. Il osait se prendre pour leur chef, alors qu'il était visiblement bien moins sage que ces druides. Il se disait être en contact, non, connecté à l'arbre de vie. Draigh était-il jaloux de Beowulf ? Pas vraiment, mais Beowulf se devait avoir un leçon. Même s'il s'agissait d'aller jusqu'à sa destruction. Son comportement envers la royauté démoniaque risquait de mettre le royaume en danger. Qui allait protéger le royaume s'il ne convenait pas au rôle ? Il savait tout simplement. Pour combattre un royaume, il fallait utiliser les mêmes armes qu'eux. De toute façon, ce loup garou n'était un Avatar. Une image de l'arbre selon son humeur et ses envies. La forêt était-il en colère ? Oui. En tant qu'Arcdruide, Draigh le savait et c'était pour cette raison qu'il avait décidé de renier tout ce qu'il croyait afin de changer la face du royaume. Oui... Il allait tombait, mais derrière ce royaume détruit, un nouveau allait prospérer aux yeux de tous. Ce n'était qu'un sacrifice parmis tant d'autre. Que fut son sacrifice ? Le royaume en entier. La lame avait soif et cette promesse d'offrir ce royaume comme nourriture lui plaisait bien, surtout Beowulf.
Cet Avatar allait bientôt vivre son dernier combat!

Dernière son sillage.
Un oeil s'ouvrit au centre d'une feuille qui reposait au pic d'une branche. Un oeil s'ouvrit, ensuite un autre, suivis de plusieurs pour finalement couvrir l'arbre d'yeux. Effroyable, chacune des feuilles possédait son oeil jaune en forme de globe. Les pupilles ( car oui, l'oeil en possédait plusieurs ) ressemblaient des grosses tâches. Un liquide visqueux s'échappait comme s'il s'agissait de larme. La sève de l'arbre lorsqu'il touchait le sol échappait un gaz jaunâtre. Ce gaz semblait horriblement toxique, mais la mutation ne s'arrêtait pas là. L'arbre commençait à devenir difforme, voire mutant. Des bouches commençait lentement à se former. Oui, avec des dents comme ceux des requins. Tout ces changements fut sur l'un des arbres lors de son sillage. L'arbre de vie allait prendre plus de temps, heureusement. Par chance, il était plus gros, donc plus long à corrompre.

Draigh s'arrêtait plus loin où il planta ensuite l'épée dans le sol afin de corrompre le sol et les arbres autour de lui. Les arbres devinrent comme celui décrit. Le sol noir, mais semblait lui aussi vivant. Cette lame avait un pouvoir aussi incroyable qu'effroyable. Alors que les druides prônait la paix, la sagesse et l'amour de la nature. Quel connerie! Jamais Draigh n'avait eu autant de pouvoir entre ses mains. Il avait comment réussi à vaincre une professeur de l'académie grâce à ce pouvoir. Il souriait, il jubilait face à ce pouvoir qu'il avait entre les mains. Là où il se trouvait, la forêt autour de lui, s'assombrit. L'atmosphère devint de plus en plus sinistre. C'était donc ça le pouvoir d'un artéfacts runiques. La lame lui parlait comme s'il voulait toujours plus. Tssk, cela ne suffisait donc pas! Il venait de tuer une professeur et des gardes. Cette lame n'était donc jamais rassasiée ?
La lame voulait plus que des simples " sujets " il voulait l'essence d'un champion, d'une reine, de quelqu'un de plus puissant que des personnes sans nom!

" Toi, champion de l'enfant de la nuit, offre moi le sang de cet avatar de la vie qu'on appelle aussi Beowulf. "

- Tu l'auras, enfant de la nuit. Beowulf va vivre son dernier combat.

Lorsqu'il finit sa phrase, trois gardes corrompus sortirent de terre, comment des morts-vivants. Ils ne parlaient plus. Ceux-ci pouvait facilement être reconnus. Ces gardes appartenaient à la garde royale.
Bruit de corbeau. Étrange, normalement les corbeaux ne traînaient pas dans la forêt elfique. C'était très rare.
Tout comme les arbres, ces corbeaux  avaient ces même yeux glauques et terrifiants et ce, même sur leur plumage.

Tout était tombé au royaume runique. Ce royaume allait suivre.
" Ténèbres, serviteur de l'enfant de la nuit, je vous prie d'entendre ma voix funèbre. Ma soif excède la colère de nos ennemis..  "

Au vue de l'inaction légendaire de Beowulf, la jeune reine couru vers la ou allait la trainée lumineuse. Bien plus rapide que les autres, personne ne la remarqua partir, pas même Beowulf, à qui elle fit retirer le Radan. Bien loin devant tout le monde. C'est quelques minutes plus tard que les 4 gardes royaux remarquaient la disparition de la reine. Qui suivait la trainé du sort de la directrice.


Remarquand la disparition de la reine, le chef des gardes royal regarda les nobles du grand arbre, dans un soupir mêlant la rage et le désespoir de tout le temps la voir partir a cette vitesse, il demanda simplement.

-Elle est partie ou encore. A quoi on sert si elle ne nous attends jamais?

L'un des gardes nouvellement affilié a la protection de l'arbre regarda le chef de la garde royal avec un sourire des plus déplaisant. malgré la discipline, on pouvait observer une certaine rivalité entre eux. Surtout pour ce qui était des grade et des contacte avec la reine.

-Un plus un fait deux crétins. Son royaume est menacé, un archidruide fou se promène avec une lame dangereuse et tout aussi folle. Elle a déjà vaincus son ancien détenteur. Quelque chose me dit qu'elle est partie faire le salle boulot elle-même pour préserver notre héritage. J'avais aussi postulé pour être dans sa garde personnel, mais monsieur a refusé ma candidature. heureusement pour moi, ce problème est le tiens et celui de tes trois autres collègue. Si j'étais vous, je suivrais la trainée laissé par la jolie, douce et gentille Keisera. Je suis pret a parier que ca vous mènera a la reine.

Il soupira avant de désigner les trois autres et partirent a la course, malheureusement, déjà trop loin derrière elle. Elle devra se débrouiller seule pour le début du combat, sans garde personnel, ni Keisera qui suivait elle aussi.


La jeune reine arriva enfin a la rencontre de l'intrus. Il n'était malheureusement pas seul... Elle réfléchit a une solution. Une lui vint en tête. Si jamais cela devait fonctionné, elle aurait l'aire bien conne. dans le cas contraire, sa ne ferait deux de moins a gérer. Elle activa son élémental burst, deux flamme rose s'échappa d'elle, mais rien de plus. Elle s'approcha du druide d'une manière franche. L'archidruide la regarda avec un sourire quasiment dénaturer. Elle prit une posture mettant bien ses formes en valeur, regardant son archidruide. Il n'était pas mauvais de nature, c'était cette lame la cause des maux. Elle activa son sort de charme. et désigna pour cible, les deux sbires de la manière suivante.

-Un potentiel roi n'a surement pas besoin de sbire pour combattre a sa place.

La lame n'eu pas le temps de manifester sa puissance pour éviter ce charme que le druide trancha les deux serviteur, donnant raison a la reine. La lame dit a la reine elfique.

-Je vais adapter l'esprit des corrompue la prochaine foi, merci de dévoiler ton jeu... sombre idiote.

Je m'occupa spas de lui, fonçant grimpant avec une agilité hors norme a l'un des arbres. Je pris mon temps . le temps qu'il me perde de vue pour asséner trois coups dans le dos a une bonne vitesse.

(-25 mana et elle a fais au total 45 de dégat)

Alors que la nuit prématuré englobe le ciel de son étreinte étouffante, le loup de la colère ramène sa rage viscérale contre les ennemis de la forêt. Il ne protège rien contre sa rage meurtrière, sa soif de sang doit être nourrit de chaire. Calme, calme, calme, la reine rose à besoin de sa légende. Mortelle est l'étreinte du druide noir, avec envie il la regarde. La jalousie dicte ses actions. Une fleur qui fane peut à peu. La forêt fait appel à son nom ; Beowulf, Saeline, Ayame.
Un loup vengeur de la nuit. Une reine rose aussi rapide que le vent et une jeune demi elfe nordique à l'oeil de rune.
Encore et encore, la graine du chaos contre la graine du miracle est le titre de ce conte.

- Toujours aussi rapide.
Il ne senti pratiquement rien.

Beowulf, Beowulf, Beowulf. Elle ne pensait qu'à ce loup maudit qui menaçait sa propre forêt! Il ne protégeait rien avec sa colère viscérale! Qu'est ce qui pouvait bien protéger alors qu'il était un danger pour lui-même ? Il n'écoutait que ses pulsion! Elle devait être protéger, mais elle n'avait que ce caniche royal dans ses pensées. Argh! Draigh avait planifier son coup, oui. Son but n'était pas de détruire la forêt. En tant que druide, il vouait sa vie à sa défense. Est-ce que détruire un être aussi vengeur que ce loup maudit était un acte de protection ? C'était un paradoxe auquel, parfois, des sacrifices devaient être faits. La destruction de la forêt n'était que des dommages collatéraux. Ce n'était que le court de la vie, malheureusement. Cela l'attristait visiblement. On pouvait y voir une larme grisâtre s'écouler de la joue de notre cher Arcdruide protecteur. Cette larme tomba au sol lorsque fit face à sa reine. Cette reine qui vouait sa vie à la protéger, elle, tout comme la forêt.
Ce n'était pas elle qu'il voulait affronter! De quoi se mêlait-elle ? C'était entre lui et ce caniche royal! C'était SON devoir!
Draigh se voyait comme un martyr.


Il reprit ses esprits ;
- Vous croyez que votre présence va y changer quelque chose ? Je suis l'élu qui va élever ce royaume! JE vais la protéger cette forêt comme il se doit, quitte à replanter chaque arbre.

De ses yeux horrible, il vit que la reine tenta un truc. Un truc fourbe auquel elle faisait souvent appel afin d'éviter la violence : le charme. Elle en était rendu là ? Allait-il vraiment tomber dans ce piège fourbe ? Rusée la renarde. Une pointe de lame traversa la poitrine de l'un des sbires. Écoulement de sang. Quelques gouttelettes grise tombèrent au sol. On ne pouvait plus voir les yeux de notre cher Arcdruide. Ceux-ci étaient camouflés par l'ombre que ses plumes créaient. Une étrange substance visqueuse se propagea soudainement et rejoignit le bras de Draigh. À travers l'ombre, l'un de ses yeux commençait à devenir perceptible. De sa main libre, il saisit par la suite l'autre sbire afin de reproduire le même phénomène. Il semblerait que Saeline venait de réussir son coup grace à ses formes. Vraiment ? Soudainement, des mouvements qui n'annonçait rien de bon se produisit derrière son dos. Corrompus, il ne l'était pas assez. Une effrayante paire d'aile poussa soudainement pour tout de suite prendre son envole. Ses l'ailes formaient pratiquement un Halo noir.
Son regard descendit afin de regarder sa Reine auquel il vouait sa vie pour la protéger.
Il avait l'allure d'un dieu

- Vous ne pouvez pas comprendre, dit-il alors que ses larmes continuaient de tomber. C'est parce que je vous aimes que je dois vous détruire. Ma croisade commencera lorsque je tuerai vous et Beowulf.

Finit-il en leva l'épée pour ensuite la laisser tomber. Au début doucement, celle-ci prenait rapidement de la vitesse en transperçant l'air pour ensuite se loger dans le sol. Cet acte eût plusieurs plusieurs conséquences dont l'agrandissement de la zone de corruption. De plus, un mur commença tout à coup à se former afin de former un grand cercle pour empêcher les éventuelles fuites. Son bras s'abaissa doucement afin de reprendre sa position initiale.
Il l'évitait plusieurs m'être de haut dans les airs.

Je me croyais préparé à toute éventualité. Comme un feu de forêt dans un bûcher, elle m'allume toujours autant. Où j'ai dévoué ma vie à sa cause, sa beauté incarnait celle de la forêt. Le vent passa à travers la forêt. Le fléau se répendit alors que la graine du chaos jonchait le sol. Quelque chose montait et ce n'était pas mon ascension vers l'apothéose. La tristesse que j'éprouvais pour détruire ce qui m'était cher. Jalousie. Envie de surpasser ceux qui me précédait. L'enfant de la nuit allait se réincarner très bientôt.
Ce soir, durant la nuit prématurée, tout le monde allait craindre son nom.[/color]