Les cris de la guerre se termina par les pleurs d'une reine qui, pourtant, ne croyait plus en ses propres larmes. La guerre semait pas la peur et la haine. Autrement dit, la peur et la haine étaient un peu comme la progéniture de la guerre. La guerre démontrait le pouvoir, l'égoïsme des dirigeants, mais lorsque cette guerre était généré par un traitre. Était-ce par égoïsme ou par l'orgueil du traitre ? La guerre  n'était qu'une arme politique qui servait seulement pour le pouvoir et rien d'autre. Lorsqu'il s'agissait de l'oeuvre d'un traître, on appelait ça un foutu Coup d'État. Il croyait faire mieux, il croyait gagner quelque chose. Bien sûr qu'il avait gagné. Personne ne s'y attendait. Alors que cette reine lâcha l'épée qui servit à le tuer, elle serrait ensuite son roi déchue contre elle. Ses larme qui brillaient comme mille étoiles scintillantes. Celles-ci sèchèrent comme de la cendre. Elle pleurait au désespoir de la perte de celui qu'elle aimait. Perdant une moitié plus cher que n'importe quel être. Perdant non-seulement une lumière dans les ténèbres, mais aussi la clef qui permettait de déverrouiller cette flèche de lumière. Un paradox nullement inutile dû à son statut de Reine démoniaque. Même si le ciel ne pleurait pas cette perte, les flamèches dansaient de la même manière qu'une goutte de pluie lors d'un ciel ténébreux. Ses sanglots lui rappelait alors l'abandon qu'elle avait vécu, jadis. Tout ça, pour le pouvoir. Tout ça, pour le simple rôle de dieu.
Cette lame putride incarnait la corruption. N'importe qui qui la touchait risquait d'être sous son emprise. Lorsqu'on parle d'élu, est-ce que qu'on parle aussi d'élu de la guerre ? Une épée qui semait la discorde entre de mauvaise main, mais si celui-ci ne se laissait pas affecter devenait aussi fort qu'une armée. L'histoire le prouvait depuis des lustres : tout le monde cherche le pouvoir et se faire remarquer. Chacun ayant peur de l'oublie tentait de laisser sa trace, son nom dans l'histoire. C'est ainsi qu'en ayant plus aucune peur ; il restait qu'à vaincre sa propre peur de soi. Il l'avait comprit afin de retourner le pouvoir de son roi contre lui afin de devenir grand encore. Ce traître voulait créer un monde où la guerre ne semerait plus la peur, la haine. Un monde tel qu'un Darkside of Dimension of God!..

Dans ses bras, ses yeux d'un rouge aussi vif qu'un rubis regardait son roi en agonie. Ses larmes ne pouvait pas arrêter de couler le long de ses joues. Il était grièvement blessé. Malheureusement, il n'y avait rien à faire. Seulement le voir mourir doucement dans ses maux. Une voix toujours plus douce qu'était la sienne afin de le réconforter. Le roi avait un bras sectionné, un trou de la même largeur que sa lame traversait son corps de part en part, une aile coupé autant que ses cheveux durant la bataille où il s'était retourné contre sa reine. Son regard vide s'éteingnait de plus en plus jusqu'à ce que ses iris deviennent dépourvue de lumière. Au grand miracle de tous, il avait encore de la force pour prononcer quelques mots, mais au malheur de la souveraine, elle lui dit de conserver ses forces en le serrant toujours plus contre elle. Il n'avait pas mal, jamais il n'avait connu le douleur, sauf celui de la perdre à ce moment-même. Pourtant, malgré ce grand désarroi, le souverain restait confiant. Il savait qu'ils allaient se retrouver. Ses forces, il en avait plus besoin pour lui dire ses prochaines paroles. Sa tourne se leva avec peine et misère pour croiser les yeux rouges de sa reine.

- *Kof* Tu... brilles plus que le jour où *kof kof*... tu m'as appelé... Il n'y a pas... que ... *kof kof* les ténèbres... chez les démons... Tu es... *kof kof* une étoile hurlante... ma belle... ...

" Alors que la mélancolie est la conséquence de la guerre. Comment peut-on briller alors que la lumière se fait de moins de moins voir ? La flamme devenant de plus en plus faible et frêle où la haine surbmerge l'amour une bonne fois pour toute. La flèche de lumière qui devient de moins en moins perceptible. Les conséquences des larmes qui deviennent cendres à force de tomber. Briller ne sert à rien une fois éteinte. Une nouvelle voie s'ouvre menant vers l'obscurité totale. Les victimes ne sont plus que des simples proies, mais des chasseurs de justice. Une étoile flamboyante à la beauté cruelle dévorant la crainte de ses adversaires. Un pion de moins... tassé par une tour, un fou percuté un cavalier : personne n'allait oublier ce tragique jour fatidique. Il n'y a pas de clé dorée pour ouvrir la boîte de pandore. La peur d'être oublier est la seule frontière qui vous mènes à la rédemption suprême une fois vaincu...
Oeil pour oeil, il n'y a qu'un souhait à réaliser : c'est de retrouver cette clé qui me permettra de changer le monde... Alors que cette porte - toujours verrouillée - attend ce jour pour s'ouvrir...
... afin que mes prières soient attendues ET me remettre à briller à nouveau! "

À quel point un seul traître, ainsi qu'une épée pouvait bien faire de mal ? Le roi mourut dans les bras de sa bien aimée après ses dernières paroles. Il n'y a avait pas qu'elle qui se sentait abandonnée, mais aussi le souverain déchu. Oui, il se sentait abandonné par ce qu'il était : un démon. Pourquoi un démon ne pouvait pas être un noble aux idéologies un peu différentes ? Non, une idéologie différente de la celle du tout puissant annonçait une trahison à sa toute puissance. Beaucoup s'étaient battue pour une libération et beaucoup avaient succombé. Pourquoi il devait mourir de la main de son propre coéquipier ? Voulait-il la libération aussi ? Son boureau voulait la libération de la peur et la haine en la semant ? C'était complètement absurde. Même les dieux n'allaient pas pardonner cela, alors que lui, au moins, il se tenait à carreau. Le priver de cette " protection " était un acte purement égoïste et orgueilleux. Leur vanité n'avait donc aucune limite. Le souverain s'était éteint, laissant plusieurs de ses sujets en deuil. Personne ne pouvait plus rien faire. La fin d'un règne se finissait alors ainsi où le rideau se fermait. Sa bien aimée jura qu'elle irait jusqu'à le retrouver, quoi qu'il en coûtait. Son regard se dirigea finalement sur l'épée, la lame maudite. Celle-ci semblait regarder la reine en souriant. Quelle étrange impression. Bien sûr que'lle ne pouvait pas sourire. C'était une lame! mais celle-ci le ferait si elle le pourrait! Aussi exécrable, détestable avec sa vanité, la reine tenta de le détruire avec ses forces restantes. Un éclat une blancheur presque aussi divine que malsaine surgit.

" Si tu es pour mourir, ne gaspille pas le peu d'honneur qu'il te reste. Une fois que le conte est commencé ; il doit vraisemblablement se terminer. Les fin heureuse ne sont que des blagues. Abandonnée par tout désir de continuer... tu ne le vois bien que la BoÎtE de PaNdOrE a été ouverte... Seule a erer dans ce lieu que tu appelait, jadis, " ton monde ". Il n'est rien d'autre que désert. L'oeil d'Eden s'est fermé dès ta venue.  Le regard d'Abigæl obsède le moindre fait de tes gestes. Dans le sanctuaire où tu te refuge. Là où tout à commencé. L'ombre au yeux blanc te regard au dessus de ta tête. Le corps se trouvait sur l'autel te rappelle quelqu'un ? Ce qui tu as été, jadis. Levant tes yeux vers cette ombre, tu comprend maintenant ce que tu as toujours été : quelqu'un de plus forte que cela. Cette ombre n'est pas la mort, mais un guide d'outre tombe. Tes yeux d'un rouge vif en disent long. Tu sais quoi faire à présent. Ô dieu, je suis désolée. Je ne cherche pas a m'expier. Vous me regarder déjà comme un bête sauvage assoiffée de savoir et de pouvoir pour le mal.
- J'aimerais tant, un jour ou l'autre, connaître l'obscurité en chacun de vous... Maintenant qu'il s'est éteint. Plus rien me retient dans ma folie. Lorsque le fer se croisera!! VOUS CRAINDREZ NOTRE NOM!! KiiyYAAARGH!! "

Suite à cet étrange événement, plus personne n'avait revue la Reine qui s'était exilée. Beaucoup disait beaucoup de choses affreuses sur elle comme : 《 elle a fuit car elle n'était rien avec le roi 》, 《 Elle a fuit, car elle avait peur 》etc. L'ancienne souveraine s'était exilé pour retrouver son mari défunt et trouver un plan pour se venger. Oui, la déchue voulait se venger de deux choses, du traître et des tout puissant dans lea yeux qui ont tournés le dos à son mari qui, lui, croyait toujours le bon chez les démons. La réalité qu'ils vivaient était seulement différente que la leur. Comme une colombe qui signifiait la paix, dans plusieurs cas, il peut y avoir plusieurs signification  tel l'amour. Oui, attristée par la mort de son souverain, la déchue tenta un moyen de le retrouver à n'importe prix. Pendant plusieurs années, restait dans ses rechercher... jusqu'au jour où mourut à son tour, en peine de le retrouver.