" L'histoire de celle auquel je voulais ressembler "  

Un reine aveugle au pouvoir surnaturel, de sa longue chevelure blanches et immaculés par la main des dieux, elle pouvait méduser d'un seul regard vide. Silencieuse comme un serpent ~ Ses lèvres symétrique idôler telle celle d'une déesse. Un cauchemars froid et effroyable s'en suivait. L'ombre dans la nuit, la prédatrice nocturne qui ne vivait que pour le sang. La Reine de la nuit qui, elleee, n'avait pas peur des monstres.
De son histoire, de son regard, elle m'a médusé. Qui était-elle ? Les ténèbres incarnés. Elle qui voulait se venger de son peuple." Bizarre " cette reine était écrite. " mort " ensuite comment ils se retrouvaient figé dans la glace...

C'était inconcevable! Pour qui cette liche se prenait, bon sang! Merde! À quoi elle pensait ? À quel moment cette liche c'était que l'humilier ainsi était une bonne idée ? Jamais, jamais Akiza avait vécu un tel échec, donc une telle humiliation! Son égo et son image d'élève parfaite venait d'en prendre un coup. Seule, dans sa chambre, le seul et dernier héritage de sa mère, Akiza se trouvait dans son bain à penser dans le vide, le regard dans le vide. Comment pouvait-elle avoir échoué ? Pourtant, elle avait été la dernière à pouvoir bouger librement. Oui, il faisait froid à ce moment du cour, mais avec son instinct, Akiza avait eu l'idée de réchauffer son corps à l'aide de sa magie. À la base, son corps était toujours chaud, mais le froid le combattait facilement. D'où cette idée. Était-ce de la triche ? En quoi serait-ce de la triche ? il fallait bien participer au cour, bon sang! Les yeux dans le vide à fixer ses jambes, Akiza ne pensait à rien d'autre. C'était devenue une obsession malsaine. Agrippant ses bras où ses ongles commencèrent à pousser afin de devenir pointus, ses yeux commencèrent à passer du rose magenta au rouge, rose magenta au rouge, et ce, plusieurs fois. Ses ongles pointus, où on pouvait littéralement les décrires comme des griffes, commencèrent à déchirer la peau de ses bras ( environs où il y a les triceps ). Ça faisait mal, comme cette humiliation. Elle grimaçait de douleur alors qu'elle combattait cette pulsion violante de vouloir tout détruire. Mal, comme son égo blessé, alors que ses yeux continuaient de passer du rose au rouge écarlate. Ses canine poussait, ainsi qu'une secondaire paire de canine afin d'accompagner sa consœur. Un grognement malsain qui réclamait justice. Un regard qui voulait du voir du sang. Des canines qui voulait goûter à la chaire et ses ongles qui voulait pourfendre les convictions de celui qui venait de l'humilier.
Une vapeur commença à s'échapper de l'eau qui, elle, entra aussitôt à l'état d'ébullition et d'évaporation au contact du corps d'Akiza qui ne cessait d'augmenter en température. Une corne effroyable commençait à pousser. Grognement. Sclères roses.
- Rrrgg...

" Je vais le tuer. Je vais détruire tout le monde sur ma route pour l'humiliation qui m'a infligé. Akiza! "  

Tout disparu aussitôt que cette pensée l'apostropha. Ses canines avaient repris leur forme normale. Ses yeux aussi, autant que ses ongles et cette affreuse corne. Un liquide rouge foncé s'écoula le long de son bras jusqu'à la pointe de son coude pour ensuite tomber dans le restant d'eau. Il ne restait pas beaucoup d'eau, l'eau ne dépassait même pas la hauteur de ses fesses tellement qu'elle s'était évaporé rapidement. Par conséquent, il suffisait seulement de quelque gouttes de sang pour souillé l'eau de bain. Akiza se fut surprise et même prise de panique en voyant l'importante blessure à ses deux bras. Qu'est ce qui venait de se passer ? Notre jeune tourmentée savait qu'elle venait d'avoir un moment d'asbence, mais à ce point violent, c'était du jamais vu. Son coeur battait à la chamade. C'était son sang ? Ensuite Akiza regarda ses mains qui, eux aussi, étaient complètement ensanglantées.
Troublée par cette vision et tremblante, notre jeune tourmentée se luttait contre elle-même pour ne pas se mettre à hurler de toute ses forces.
 - e..e..ek..EEYAAAAaa!..    

Mal de gorge du soir après un tel cri de terreur. Notre jeune sorcière avair maintenant peur d'elle-même au point qu'elle ne voulait même pas se regarder dans une classe par peur de se qu'elle allait voir. Effectivement, pour la première fois, la buée allait rester contre la fenêtre. Tout ce qu'elle fit avant de sortir de sa salle de bain : mettre des bandages sur ses bras. Une fois sorti, seulement vêtue de sa serviette autour d'elle, notre jeune élève croisa la l'un des portrait de sa mère, l'ancienne directrice de l'Académie. Son regard devint aussitôt attristé. Une désillusion morbide qui l'a ramena à la réalité. Si seulement Akiza savait se qui c'était passé et si seulement elle pouvait la ramener dans sa vie. Elle se souvint encore du moment où elle l'avait prise dans ses bras pour la première pour lui dire qu'elle n'était plus seule. À partir de se moment là, elle était devenue sa fille. Une larme s'écoula de sa joue. Notre jeune sorcière ressenti sa descente et l'essuya rapidement. A... A..ki..z-zza..
Souvenirs, souvenirs.

Lorsqu'Akiza vivait des moments difficile, sa mère lui disait toujours de faire ce qu'elle aimait afin de penser à autre chose. Et c'est ce qu'elle fit, aussi tôt habillé, aussitôt elle se rendit à la bibliothèque afin de se mettre dans tête dans quelques livres. Plusieurs livres l'intéressaient, beaucoup trop de tentation l'envahissait. Histoire, conte, magie, biographie. Mon dieu, pourquoi Akiza ne pouvait tout simplement pas tout prendre! Il y avait une alternative, mais notre jeune rat de bibliothèque risquait de passer la nuit à la bibliothèque avec un livre en guise d'oreiller. Comme d'habitude, c'était cette alternative qui l'avait emporté. Un jour, l'encre de l'un des livres risquant lui de coller à la figure en guise de tatouage gratuit. Après quelques allées, notre jeune rat de bibliothèque avait pas moins de 10 livres en mains afin d'y passer la nuit.
Quelques théories pour le début, allant jusqu'à deux contes pour le sommeil. Une soirée tumultueuse qui finissant de manière radieuse et reposante. Akiza quitta par la suite l'allée où elle se trouvait afin d'atteindre les tables.
La directrice passa dans son champ de vision. Elle était ici ?
Devait-elle aller lui parler ? Pourtant ce n'était pas la première fois qu'elle s'adressait à la direction.
Cette fois c'était différent. Akiza n'était plus l'élève parfaite.
Elle avait échoué.
Notre jeune studieuse posa ses livres, ensuite ses mains sur la table en s'inclinant vers l'avant où une partie de ses fesses se releva.

- Je suis désolée Madame Areseik. J-je veux voudrais savoir si cette note affreuse à baissé votre estime envers moi... Je suis consciente qu'elle baisse horriblement ma moyenne...   Dit-elle avec une voix qui démontrait en tout point à qu'elle point sa note l'affectait énormement. Cette Liche a détruit mon image et ma réputation! Je ne sais plus quoi penser que –  

Finit-elle anxieuse

" J'écoute, toute information est bonne à prendre, Akiza "

Akiza voyait visiblement que la directrice essayait lui remonter le moral en lui disant que ce n'était qu'un parmis tant d'autre. Notre studieuse allait en vivre d'autre indubitablement. C'était le cour de la vie et malheureusement, parfois, on ne pouvait pas y faire grand chose. Surtout lorsqu'il y avait un être aussi ancien que cette liche. Elle se croyait plus futée que tout le monde. C'était peut-être vrai, mais une chose était sûr, il ne connaissait pas Aki. Elle s'était fait dire de ne pas la détester. C'était difficile de ne pas la détester. Notre jeune sorcière était rancunier, surtout lorsqu'on se jouait d'elle. Pourtant, cette liche piquait grandement sa curiosité. La détester était difficile. Il s'agissait quand même d'une créature avec un immense savoir! Cette liche devait garder d'immense secret. Une chose était sûr, Akiza voulait l'étudier dans toute ses facettes. Sa magie, ses secret, sa provenance, tout! Rencontrer une liche était aussi rare que rencontrer un animal albinos dans la nature, peut être même plus. Un chance sur 10 000 ? Peut-être même un peu plus haut que cela. Non, notre jeune sorcière n'allait pas la détester comme sa note. Comme sa note, elle voulait en savoir plus sur le pourquoi et comment de son savoir vis-à-vis à elle.
Cette directrice avait raison avec ses sages paroles. Notre jeune élève lui sourit, démontrant que son anxiété venait de s'envoler.
Sa moyenne avait baissé et alors ? Elle pouvait toujours remonter.

Dès lors, Akiza vit la directrice tirer une chaise où elle l'invita à s'asseoir à côté d'elle. Cela la mettait un peu mal à l'aise. Oui, elle était habitué d'aller voir la direction pour plusieurs raisons afin d'améliorer le quotidien dans l'académie, mais elle s'assoyait en face de la directrice. Pas à côté! Devrait-elle accepter ? C'était un peu bizarre non ? De ses yeux magenta, Akiza regarda à droite et à gauche afin de voir s'il n'y avait personne. On ne savait jamais. Cela pouvait être vue comme du favoritisme. Même si on ne se le cachait pas, Akiza était l'une des favoris par excellence. Par son assiduité, son dévouement, sa participation et son écoute. Parfaite ? Akiza incarnait pratiquement l'élève parfaite. Notre jeune sorcière se redressa pour ensuite contourner la dites table pour ensuite s'asseoir où elle ressenti la surface froide de la chaise contre la surface nue de ses fesses. Une fois assise, toute les informations se bousculaient dans son crâne. Les notes ne définissait pas qui elle était au fond. Malgré cette note, elle restait une élève de confiance.
Oui, les bonnes notes, voire parfaite, faisait partie de ses valeurs moraux. Du point de vue d'Akiza, c'était même une conviction. Les notes parfaite faisait d'elle une personne de parfaite en quelque sorte.

Ensuite vint la proposition de la directrice. Une proposition qui ne laissait pas Akiza de marbre. Avoir l'occasion de l'aider à faire l'inventaire des livres. C'était un honneur! Si ses yeux pouvait avoir des étoiles dans ses yeux, elle en aurait à ce moment même. Visiblement, cette note désastreuse avait du bon finalement. Tout n'était pas tout blanc, tout noir. D'autres apprentissages et connaissances à acquérir. Un compétence à aujouter dans ses aptitudes personnelles. Il était évident que notre jeune étudiante allait accepter une telle proposition.
Akiza hocha la tête où son visage était orné d'un beau sourire.

 - Oui, oui! Je serais heureuse de vous aider à faire l'inventaire! Je m'en réjouis d'avance, alors que nous n'avons même pas commencé!    

Ensuite vint le tour d'un petit marché entre elles. Si Akiza apprenait bien des enseignements de l'enseignant mort-vivant, la directrice allait lui proposer un ouvrage qui lui appartenait. L'oeuvre était centré sur un mage dénommé Urukiraka, un mage légendaire qui maîtrisait la magie de la terre et du feu au point d'en créer de la lave. En gros, de la roche en fusion. Bien sûr que cela lui intéressant! Ce mage était légendaire pour sa maîtrise des éléments! La lave fut l'un de ses points fort, mais il avait aussi fusionner d'autre éléments, l'eau et la vent pour créer de la glace en exemple. C'était l'un des plus grand mage de son époque. Si seulement notre jeune sorcière pouvait le rencontrer... Mais c'était impossible, il ne se trouvait pas dans cette académie, mais dans un autre pays.  
Akiza sautilla légèrement sur place, se qui fit rebondir sa poitrine, afin de démontrer sa n'oubliait bonne humeur.
- D'accord! C'est un marché conclu! Finit-elle avec un léger air triste. J'ai entendu parlé de ses prouesses en magie, même de son histoire. J'aimerais avoir un tel dons, voire même le rencontrer un jour...

Elle acceptait tout simplement tout les propositions de la jeune directrice. Même si les notes faisait mal a sa moyenne, cela l'aiderait beaucoup a progressé. Enfin un enseignant dignes des meilleurs élèves? Seule l'avenir le dirait. Pour l'instant, les élèves représentant l'élite de l'académie venait de tomber de très haut. Une chute vertigineuse même. Il m'arrivait parfois de faire des examens de ce niveau de difficulté, mais rien de physiquement dégradant comme ce qu'il avait fait. Je ne le félicitais pas. Reste a savoir si Akiza accepterais vraiment de suivre les cours de ce mort-vivant.

J'ai commencé a montrer la liste des livre manquant a Aki, certains enseignant étaient en retard  dans leurs prêt de livre. La jeune étudiante pourrait se faire plaisir et aller rappeler a certains enseignant de rendre les livres dans les temps. Ma lecture fut interrompu par un autre élève entrant dans la bibliothèque. Un dénommé Sazz. Un jeune démon, venant tout juste de s'inscrire a l'académie. Déjà de nombreuse retenue donné par mes soins, je commençais même a me demandé si il appréciait ce genre de chose. Il s'approcha puis agrippa sauvagement les fesses a Aki. Il venait de s'être bagarré, les traces de bagarre se lisait sur son visage. Je lui lanca deux holy light, mettant l'élève au sol a cause de sa nature démoniaque. Je me leva avec et fit apparaitre un Radan dans ma main droite et le lui enfilla. Je regarda cet élève avec mépris jusqu'a son réveil. Il dit:

-C'est a elle de mettre des sous-vêtement!

Je soupira de plus belle avant de simplement répondre:

-ELle peu s'habiller comme elle le souhaite sans se faire agresser de la sorte. Ah et sache  que ca sera a elle de décider quand tu seras libre de ce Radan.

Il essaya d'usé de sa magie, sans succès a de très nombreuses reprise. Comme quoi, ce genre de colier était au dela de tout espérance.

-Tout mais pas ca, j'ai ma réputation!

-Tu n'auras qu'a prié sa clémence. Les gens de mon culte t'aurait éduquer autrement, mais bon.

Une autre manière de tester la sagesse de la jeune dame. Elle laisserait Sazz sous son emprise un certain temps, mais pas non plus éternellement. Question d'éviter les abus de pouvoirs.

-Alors si c'Est marcher conclus, tu peux disposé de Sazz pour t'aider a aller voir les enseignants en retard sur leurs emprunt et moi, je vais faire l'inventaire intérieur de la bibliothèque.

" Pour qui travailles-tu, finalement "

Il y en avait une qui idolâtrait l'académie comme personne. Celle qui le voyait comme un foyer où la sécurité et l'apprentissage ne faisaient qu'une. Non seulement cela, elle voulait bien paraître et laisser une image parfaite d'elle. Personne, non personne ne devait la ternir ; dans quoi, elle allait vraiment mal le prendre. Limite, elle allait se sentir humiliée, insultée, et ce, l'amener à être en colère. Fille adoptive la directrice, beaucoup la respectait, même si elle parlait à très peu de gens. Oui, elle avait toujours été proche du personnel, ainsi que la direction. Tout faire pour être parfaite à leur yeux, c'était son but. Évidemment qu'elle allait accepter une tel tâche de la part de la directrice, même si cela aurait été autre chose que l'inventaire. Tant qu'elle pouvait continuer à conserver son image, notre jeune élève parfaite aurait acceptée dites tâche.
Les dires venant de la directrice la rassuraient beaucoup. Cette liche avait été fourbe. Personne n'avait sali sali sa réputation d'élève parfaite.
Sauf la liche, malheureusement.

Sa tâche n'avait rien de trop compliqué, voire, elle était relativement simple : Faire un rappel aux enseignants qu'ils avaient un retard auprès de leur location de livre. Quoi de mieux que de taper un peu sur les nerfs d'un professeur ? Pas grand chose. Notre jeune première de classe se voyait ravie. Malgré le fait que sa semaine commença sur un mauvais pied, sa motivation venait de rebondir à nouveau.
Une fois levée, où ses fesse apparaissaient soudainement légèrement, Akiza restait légèrement inclinée en gardant ses mains sur la table. Elle discutait avec la directrice de la tâche qu'elle devait accomplir afin d'avoir plus de précision, tout à coup, Notre jeune tête en l'air senti une paire de mains lui aggriper sauvagement les fesses. Akiza rougit d'embarras. Ce malotru, avec une grossièreté déconcertante, avait même osé remonter sa jupe afin de dénuder l'entièreté son postérieur.Ce dernier avait l'air à plutôt apprécier le touché, alors que du côté d'Akiza, elle restait figée et surprise par un tel affront. C'était si embrassant. La directrice était maintenant témointe de la mauvaise habitude de notre jeune première de classe de ne pas porter une petite culotte.

Une fois cette incident passé et se jeune grossier au sol, Akiza se repositionna en redescendant sa jupe afin de recouvrir ses fesses. Suite à cela, elle vit le jeune malotru au sol où elle s'avança afin de lui projeter un regard.
- La manière dont je m'habille ne te regarde pas. Tu as de la chance que j'idolâtre cette école plus que tout. La prochaine je te brûle les mains.

Ce n'était pas tout les jours qu'on voyait Akiza projeter un tel regard, mais soudainement, il se retourna avec un air snob. Notre jeune élève avait d'autre chose à faire que de s'attarder à son sujet

Avant de partir pour sa tâche qu'elle lui avait confié, Akiza alla voir la directrice en privé tout en retenant le devant de sa jupe vis-à-vis son jardin secret qui, lui aussi, avait été vu libre plutôt. Toujours aussi embrassée :
- J-euh, madame la directrice, je vous prie de m-m'excuser de m'avoir vue dans c-cet état qui a résulté à voir m-m-mes f-fesses.  J-je ne veux pas q-que v-vous croyez que j-je suis e-exhibitionniste  ; j'ai tellement de chose en tête que j'oublie de me mettre des sous-vêtements – euh, en fait j-je ne s-sais pas.. Avant de partir..

Pour qui se prenait-il ? Pour qui travaillait-il maintenant ? Lui qui n'idolâtrait pas l'académie. Une perte de temps qu'était ce type qui n'avait aucune respect des lois et des valeurs de chacun. Un type qui se croyait probablement mieux que tout le monde. Ce genre de personne qui ne se préoccupait pas du mal qui engendrait autour de lui, alors que d'autre essayait seulement de lui laisser une chance afin qu'il se rachète. Ensuite, Akiza se tourna vers lui afin de s'adresser à ce malotru.

- Viens, nous avons du travail et je veux que cela soit faite dans l'heure qui suit.

Il soupira, évidemment.
Toujours aussi sévère ? Ce jeune élève était mieux de rester droit.