15 ans, cela faisait presque 15ans que notre jeune étudiante fréquentait l'académie. C'était à se dire si elle ne connaissait pas l'immense établissement par coeur. Même si il passait le plus claire de son temps à la bibliothèque afin d'étudier diverses truc, comme la magie ou autre, cela ne l'empêchait de connaître chaque recoin. L'académie dans tout son ensemble devait être un lieu paisible et sécuritaire à des buts pédagogiques. La raison pour laquelle notre jeune élève avait créer un partie pour devenir la présidente du conseil des élèves. Ses idées n'étaient pas des moindres, elle aspirait à monter la notoriété de l'académie qui, déjà, était dans toute sa splendeur. C'était son plan politique principal, mais aussi sa promesse. Ce n'était pas pour rien qu'elle était la favorite de maintes professeurs. Ses ambitions en disaient large sur sa dévotion à l'académie. Akiza ne cherchait pas à devenir une simple enseignante, mais d'obtenir le poste que sa mère occupait avant. Avant l'accident...
Mère, je trouverai un moyen de vous ramenez, je vous le promets! Faites moi confiance... pour cette fois.
Est-ce qu'elle serait fière de sa fille aujourd'hui. Probablement, mais rien n'était moins sûr malheureusement. C'était son but principal, non, c'était son devoir.

Dans la bibliothèque, Akiza, comme à son habitude, étudiait plusieurs ouvrages. Son grimoire à ses côtés, elle l'amenait partout dis donc. Il était vrai qu'elle ne s'en séparait jamais. Tout le monde le savait. Beaucoup la trouvait étrange pour cette raison aussi. Dans ces ouvrages, il y avait des livres sur divers sujets : La magie, l'histoire de l'académie, des biographie de professeurs célèbres. Comme elle idolâtrait certain dans eux, surtout un en particulier. Un certain professeur capable de fusionner deux éléments afin d'en créer un seul. Ce professeur avait su maîtriser la magie de la lave! Qu'une mage soit capable de réaliser de tel prouesse était très rare! Après cet instant, Akiza lâcha un soupir. Aussitôt, elle vit une sentinelle s'approcher d'elle et lui tournait autour, comme un mouche. Bien évidemment, Akiza essaya de la faire fuir, mais celle-ci divulgua qu'elle devait lui remettre un message. Un message ? Notre jeune studieuse prêta oreille à ce fameux message. C'était monsieur Von Della. Peut-être qu'il avait corriger sa copie d'examen et que sa note allait monter sa moyenne! Akiza se voyait déjà monter en grade afin d'étudier des matière encore plus poussées! Elle prit ses affaires afin de les replacer dans les étagères, elle prit son grimoire afin de se rendre à la classe de monsieur Von Della le plus tôt possible.

Une fois en classe, Akiza se fit saluer
Ce n'était pas trop dans son genre de saluer les gens, ni en retour, mais lui offrit tout de même l'un de ses beaux sourires.
Il y avait tant de sentinelles dans la classe. En quel honneur ? Même les artéfacts n'étaient autant surveillés. Une seule suffisait pour garder toute une pièce, même si celle-ci était immense. L'épée était gardée par trois sentinelle, juste par précaution. Alors pourquoi en avoir autant. Et comment se les a-t-il procurée ? Peut-être qu'il les gardait. Son grimoire contre sa poitrine, Akiza se dirigea vers la Sentinelle Protecteur ( C'est leur nom. Je sais très bien que c'est
Protectrice ) à l'opposée du bureau de monsieur Von Della. Akiza se pencha doucement afin de l'observer avec minutie. Comme à son habitude, sa jupe remonta dévoilant ses fesses nues et ses belles petites lèvres intimes s'entre voyaient par mégarde se disant que de toute façon que celui qui venait de la convoquer était en train de corriger  les examens de la veille.
Elle avait étudié pratiquement toute la nuit pour cet examen, elle espérait une bonne note!
Entendant la demande de son professeur :

Akiza se repositionna aussitôt en descendant sa jupe avec sa main droite afin de couvrir ses fesses, espérant qu'il n'ait rien vu.
- O-oui ? Dit-elle maintenant son grimoire contre elle et en se dirigeant vers le bureau de son professeur en retenant l'avant de sa jupe.

Ses yeux balayait les alentours sans voir de chaise près de son bureau. Ce serait mal poli de prendre n'importe quel chaise n'est-ce pas.
 - Je vais m'asseoir ici , dit-elle en posant sur le bureau. D'accord ?  
Notre jeune élève parfaite s'assit par la suite sur le bureau de son professeur, près du bord. Une partie de ses fesses ressentaient la surface encore froidement fraîche du bureau. De sa main maintenant libre, Akiza redescendit sa jupe pour éviter et couvrir les petits accidents.

Je la regardais entrer. Toujours aussi ravissante. Surtout, toujours ce manque de sous-vêtement. Elle me montrait absolument tout. C'était pour moi comme une confirmation d'un avenir radieux avec cette jeune dame ambitieuse et pleine d'avenir. un avenir pour moi commun. Elle baissait sa jupe. Mais pourquoi? Nous étions que tout les deux. Tu peux continuer de me montrer ce genre de chose Tu l'as toujours fais, pourquoi s'en inquiéter maintenant? Elle s'assis sur mon bureau. Pourquoi pas? Je soupira de nervosité. Elle était de plus en plus proche de moi.

Je commença a légèrement caresser la main de ma future femme pour la mettre en confiance. J'essaya de crée un contacte visuel avec elle, comme dans les livres. Je finis pas lui dire en souriant.

-Tu sais Aki, je t'ai toujours admiré plus que tout, pour moi, tu es l'avenir de cet établissement. Dame Keisera est bien, mais elle ne partage pas ta passion pour le savoir ni le temps que tu prends a aider les autres. Tu es, a mes yeux la plus belle personne que cet école ai porté. Tu aurais mon avale pour prendre la direction… si sa ne tenais que de moi.

Je semblais sincère dans mes paroles. J'ouvrais mon coeur a une personne hors du commun. Pour moi, cette directrice qui me servait de patronne pouvait aller chier. Aki était beaucoup mieux. Il faudrait simplement lui donner le temps de progresser en ce sens.

-Tu sais, passé ma vie avec toi serait pour moi un honneur, mais ca resterais ton choix. J'aimerais que tu me dise sincèrement ce que tu penses de moi. t'en qu'on est seul

Akiza était assise sur le bureau de son professeur immédiat. Son bueau n'était pas si inconfortable finalement.  Peut-être réfléchira-t-elle à si asseoir plus souvent.  Ses mains contre ses cuisses, elle retenait sa jupe afin de dissimuler le fait qu'elle ne portait pas de culotte, Akiza était surtout déconcentré par ces sentinelles. Elle en faisait une véritable fixation sur elles. Du coin de l'oeil, notre jeune studieuse les observait avec attention. Étaient-elles défectueuse ? Si oui, cela voulait dire que le système de sécurité de l'académie n'était pas au point et il possédait de nombreuse faille. Elle restait évidemment silencieuse pendant qu'elle formulait ces hypothèses dans sa tête. Cela allait être un sujet de discussion durant la prochaine rencontre avec le conseil des élèves. Si ces sentinelles étaient belles et biens défectueuses, il fallait remédier à ce problème le plus rapidement possible.
Notre chère Akiza, comme à son habitude, semblait complètement ailleurs, comme toujours, plongée dans ses pensées.
Jusqu'à ce que monsieur Von Della l'interpella, ce qui la sorti de ses rêveries en la faisant sursauter légèrement.

Son professeur posa ensuite sa main sur celle d'Akiza qui, elle, se trouvait sur ses cuisses. Sans s'en rendre compte, sa jupe venait remonté légèrement lorsqu'elle avait sursauté. Sans savoir, d'un bon angle, Akiza laissait entrevoir sa belle et parfaite féminité complètement nue ; alors que son professeur tentait de créer un contacte visuel.
Il la vantait tellement que notre jeune studieuse ne savait pas trop quoi dire. Elle essayait de temps à autre de détourner les yeux, mais elle savait éperdument que ce serait mal polie de sa part. De plus, c'était son professeur, une personne respectable. Akiza refusait de dénigrer les professeurs! Comme si il lui apprenait quelque chose d'ailleurs. Bien évidemment qu'elle savait qu'elle était la meilleure dans son domaine! Bien sûr qu'elle savait qu'elle était la seule à se dévouer corps et âme dans le savoir, la recherche, la théorie et la pratique!
Elle était la personnea plus belle de cette école et convoitait la place de directrice!
Qu'est-ce qu'il a dit ?

  - Je sais que je suis spécial hihi, dit-elle en ricanant doucement en le regardant dans les yeux. Je fais de mon mieux pour améliorer la qualité de vie ici.  
Finit-elle en posant son doigt contre sa lèvre inférieure et en levant les yeux pour réfléchir un instant.

Il était vrai que sa passion pour l'étude en magie dépassait largement celles des autres. Ce n'était pas pour rien que sa moyenne était presque parfaite, accompagnée de ses notes. Après quelques année, Akiza allait avoir sa chance de devenir la prochaine directrice et gérer l'établissement afin de former de futur puissants élèves. Pour cela, elle devait posséder plusieurs puissants professeurs bien entendu. Le professeur continua son monologue où Aki finit par rougir. C'était trop, elle n'était pas habituée d'être vanté de la sorte, les autres avaient plus tendance à la jalouser.
Doucement, Akiza posa sa main enfin sur celle de son professeur afin de la retirer de sa propre main. Un autre sourire, elle lui répondit.

 - Puisque nous sommes seuls, monsieur Von Della, je peux être honnête avec vous. Vous êtes un professeur extraordinaire et vous avez toujours pris soin de moi, même quand je venais en cour complètement épuisée. Donc passé ma vie avec vous en tant que directrice serait pour moi une joie.  
_________

Elle semblait apprécie les approches de l'enseignant pervers. Il commença doucement a s'approcher d'elle jusqu'a être assis collé a coté d'elle. Il la regarda dans les yeux avant de la soulever et de la déposer sur ses cuisse. Tellement parfaite. Cette jeune femme incarnait la perfection. Surtout qu'elle était exactement comme Evshan pensait: Une fille facile et parfaite t'en niveau physique que mental.

-Oui Aki, tu es si spécial. tu porteras mes enfants dans pas si longtemps. Je crois que tu avais déjà compris ca.

Il semblait avoir des étoiles dans les yeux. Il commença a regarder par la fenêtre. le ciel était beau. De toute manière, si la jeune élève voulait se plaindre, il n'aurait qu'a utiliser les gardiens pour l'éliminer. Heureusement que dans cette école, rien ne pouvait se dresser contre  les protections de cette école, surement pas une élève.

Dis moi Aki, tu passerais le reste de ta vie avec moi? comment tu voudrais appeler notre premier enfant?

La question des enfant. C'était sur, Evshan voulait un petit garçon pour commencé suivi de deux fille. Mais ca, c'Est le hasard qui fais les choses. En effet, comme elle le disait, elle était très spécial, n'allons pas croire que l'enseignant s'attacherais ainsi a tout le monde!. Il n'y avait que le charme de cette dame pour l'attirer ainsi. Elle voulait bien être avec lui comme directrice. Cette école serait mieux avec Aki et non pas cette conasse de Keisera.

-Je fais toujours de mon mieux pour mes élèves, surtout les plus dévouée

Le professeur s'approchait afin de s'asseoir aux côtés d'Akiza. Cela ne changeait pas grand chose. Il avait le droit de s'asseoir où il le souhaitait, c'était son bureau, sa classe après tout. Qui était-elle pour lui dire où s'asseoir au final ? Son regard se tourna à l'opposée de celui de son professeur, fermant les yeux pour ne pas assister à la scène. Monsieur Von Della semblait d'être à l'aise que s'en était exemplaire. C'était un peu moins le cas avec Aki qui, elle, à part d'elle-même, personne lui disait des compliments. Avait-elle détournée le regard parce qu'elle ne se voyait pas digne de recevoir ces compliments ? Son côté timide ressortait, soudainement, elle était plus cette fille snob détestable par milliers. Son masque, son image venait de tomber.

Des mains sur ses hanches, Akiza qui avait la tête complètement ailleurs termina sa course sur les cuisses de son professeur. La partie nue de ses fesses qui était en contact ressentaient maintenant le matériaux du pantalon de monsieur Von Della. Akiza se voyait toute déboussolée. Personne n'osait trop s'approcher d'elle, car elle était " bizarre, freak etc. " Cette fille au grimoire. Von Della agissait comme s'il était son père. Notre jeune sorcière n'avait jamais eu de père, donc le sentiment était très étrange. C'était très paternel de sa part, comme s'il pouvait lire en elle comme dans un livre. Sa gêne... Il avoua qu'elle était spécial, ce qui la fit rougir légèrement, jusqu'au moment où elle entendit la suite. Ses yeux s'écarquillèrent aussitot.

 - J-je ne sais pas... des enfants, moi ? Je suis tellement occupée.. j'ai du mal à m'occuper de moi-même –    finit-elle en ressentant que sa jupe était coincé entre son poids et les cuisses de son professeur.

– La preuve ;
Ce n'était pas seulement ses fesses qui ressentaient le matériaux du vêtement à monsieur Von Della, mais aussi sa féminité nue, son pubis complètement découverte dû aufaite qu'il l'avait repositionner sur ses cuisses. Sans culotte. Aussitôt, Akiza couvrit son intimité à l'aide de ses mains. Combien de temps avait-elle été exhibé comme ça ? Des dizaines de questions se bousculaient dans sa tête. Le Savait-il ? avait-il vu sa petite fente ? Encore et encore. Euh.. euh.. Akiza n'osait pas le regarder dans les yeux. C'était si embarrassant. Son image venait de tomber à l'instant.

  - Je... si je deviens directrice.. je le serai... Si j'avais un enfant..hum..Un nom pour mon enfant – euh, Jezebel si c'est une fille.. Macbeth si c'est un garçon, lui   répondit-elle en frottant ses mains l'une contre l'autre.

Sa gêne la déconcentrait à un point que cela m'énervait!! C'était ce corps que je convoitais !? Ma puissance résidait dans le corps de cette fille qui se montrait vulnérable dès qu'elle est un peu mal à l'aise!! Arf..arf... Si je pouvais frapper un truc, je le ferais. Être témointe et spectatrice de cette scène puéril OÙ est l'Avarice dans tout ça !?
Le professeur continuait en disant qu'il faisait toujours de son mieux pour les élèves dévoués, comme Aki qui, elle, se montrait souvent plus dévouée que beaucoup d'entre eux. Cela pouvait créer de la jalousie, mais elle ne s'arrêtait pas à ce petit détail. Tout ce qui comptait pour elle, c'était sa réussite et ses notes, évidemment.

" VULNÉRABLE!!! "  

 - Oui, et je fais de mon mieux pour rester dévouée. Je ne peux rester à me reposer sur mes lauriers. Je dois rester spéciale, j'imagine.  

Soudainement, et ça se n'était qu'hasardeux. Le grimoire réapparu au niveau de sans poitrine. Stupéfaite par cette surprise, Akiza le rattrapa avec ses mains en oubliant le fait qu'elle dévoilait sa féminité. Ensuite elle posa son grimoire sur ses cuisses afin de dissimuler le tout.
Ce grimoire ne la quittait jamais, comme un guetteur.

Notre enfant serait tellement prodige. imaginez en le fruits. la fille la plus brillante de sa génération avec le mage que je suis. Sa serait incroyable. Elle avait beau être occupée, mais si on y met du notre, on peu y arriver! J'en suis sur!.

-Aki... si on y mets du nôtre, on peu y arriver! Imagine donc la puissance de cet enfants. L'énergie en vaudrait t'il pas la Paine? Tu es assez intelligente pour savoir que j'ai raison, c'est écrits dans les astres et tu le sais en plus. Fais moi pas croire l'inverse... s'il-te-plait.

Je commença à la regarder dans les yeux. Beaucoup trop belle, une lueur dans la nuit. Une étoile dans le ciel nocturne. Je commença a caresser ses cheveux d'un rose magique avant d'approcher mes lèvre d'elle, doucement avant de l'embrasser sur la bouche. Un tendre sourire sur mon visage en la regardant. Je me prépara quand même a la réduire au silence. Hors de question de perdre mon travail a l'académie pour un geste comme ca. Surtout ma réputation de violeur d'élève... Non. Je préfère encore la voir mourir d'horrible manière que de risquer mon poste et ma vie dans l'abondance. J'activa les statue alors que son regard était ma foi, rivé sur moi.. Elle allait réagir comment? Je le saurais bien assez tôt. Sois ca passe, sois ca casse. Mon geste était quand même osé. Mais, si jamais elle venait a vouloir alerter tout le monde, elle était dans la merde.

C'était quoi cette atmosphère étrange qui régnait dans cette classe, comme si Akiza se sentait observée. Était-ce ces sentinelles ? Évidemment que non, elles étaient tous désactiver, pas vrai ? C'était lourd, elle avait son grimoire contre elle où elle ne savait plus trop quoi penser. Monsieur Von Della était-il vraiment sérieux dans ses propos ? Il exagérait forcément, c'était obligé! Même si Akiza était une prodige avec un intelligence supérieure à la moyenne, ce n'était pas une question pour agir ainsi avec autant d'exagération. Des compliments... Elle en avait pratiquement jamais eu.
Au final, avait-il raison ?
Akiza commençait à se demander qu'après toute ses visions atroces, ne serait-il pas mieux pour elle de donner la vie afin de se faire pardonner ?
Pourquoi sa tête était toujours remplie de question aussi futiles!?

Monsieur Von Della posa sa main sur sa tête pour ensuite jouer avec ses long cheveux roses. Elle ouvrit les yeux, surprise que quelqu'un aime finalement ses cheveux. Son regard incertain se tourna vers le professeur.
Akiza écarquilla grandement les yeux. Il s'embrassait! lèvres contre lèvres! Akiza devint aussi toute rouge en fermant doucement les yeux.
Mais qu'est-ce qu'elle fait ? C'était un professeur et elle se montre aussi vulnérable!
Cela se ressentait que notre jeune étudiante commençait à s'y perdre. Akiza commençait fortement à se questionner à propos de son avenir et ses objectifs. Ces questions la poussait à se dire de probablement tourner la page sur son passé.
Mais en même temps, ce qu'il faisait était inacceptable! surtout qu'elle avait horreur qu'on la touche. Sa main chauffait, elle s'enflammait pratiquement lors de ce baiser. Notre jeune studieuse ne pouvait pas le gifler, c'était un membre du personnel. Aki respectait trop les professeurs. Sa main qui s'était un peu lever redescendit afin de se déposer sur le torse du son professeur. De plus, notre sorcière ressentait des picotements au niveau de sa petite fleur intime lors du baiser.
Aussitôt le baiser terminé, Akiza posa sa main sur sa bouche en réalisant se qu'il venait de se passer.

Akiza venait d'embrasser Monsieur Von Della, un professeur. Si cela venait à se savoir, c'était sûr qu'il allait perdre son poste à l'académie et serait banni de refaire ce métier même dans les petites écoles de magie. Akiza ne voulait pas être la cause de son renvoie! Cela pouvait tâcher sa réputation jusqu'à la fin de ses jours, comme quoi qu'elle couchait avec les professeurs pour avoir ses bonnes notes. Quel merdier!  Akiza perdit l'équilibre et retomba un peu plus bas sur ses fesses. Aïe, quelle journée. Eek! Elle couvrit aussitôt sa petite fleur glabre avant de se relever en se retourna pour éviter de lui faire face.
- C'est impossible pour le moment Monsieur Von Della, dit-elle avec une voix clairement désemparée.  Je suis votre élève et je ne veux pas que vous perdiez votre emploi à cause de moi,   ajouta-t-elle en se retournant.

Sa main posée sur sa poitrine au niveau de son coeur démontrait qu'elle était sincère. Akiza vouait un énorme respect pour chacun des membres du personnel. Elle ne pouvait pas se permettre de salir son image ainsi.
Elle continua en retenant sa jupe :
 - Je ne vous dis pas non, dit-elle en détournant les yeux doucement. C'est que je vous respecte trop, vous êtes une figure d'autorité, mais lorsque j'aurais obtenu mes diplômes pour devenir professeur nous pourrons voir où que cela nous mène jusqu'à coucher ensemble et avoir un bel enfant.
Il sera puissant, comme il le souhaite.

Elle resta silencieuse un moment avant de lui faire un gracieux sourire, même s'il lui avait volé son premier baiser. Finalement, Akiza n'était pas toujours stoïque et ne pensait pas qu'à étudier. Elle en avait juste trop dans sa tête au point qu'elle se perdit encore dans ses pensées.

J'étais convoqué par la détentrice de mon phylactère. Dame Keisera Aresiek. Elle me voulait quoi celle-là? Bonne question. Ca serait apparamment important. Pas pour moi, mais pour quelqu'un d'autre. J'en ai quoi a faire des autres? Bref, je ne vais pas trop la faire attendre. Admettons qu'elle a trouvé UN phénomène digne de mon enseignement. J'entra dans le bureau, sans frapper. Elle m'attendais, non? au diable les bonnes manières!, sa ne sert a rien dans ce bas monde! Je souria a cette directrice. Elle me supportait bien et ses particules magiques était équivalente a mon propre potentiel. une grande mage a ne pas faire chier, même si j'aurais tôt fait de la tuer dans un réel conflit. je ne vais pas le crier trop fort, mais j'ai trouvé un moyen de désactivé une partie importante de ses protections. Keisera le regarda d'un aire contente avant de lui annoncer la bonne nouvelle!

-Bher'mhud! Je suis contente de voir que tu viens tout de suite. La nouvelle te concerne de très proche mais ne te rendera surement pas heureux. Tu connais l'élève Akiza? Surement oui. J'ai décider qu'elle allait devenir ton assistante pour les cours. Aussi, j'aimerais que tu lui annonce la nouvelle.

Je soupira. Pourquoi m'encombrer avec un tel fardeau, parmis toute les conséquences que j'ai commis dans ma vie, les nombreux crimes de guerre ainsi que les morts que j'ai déranger dans le but d'avoir mon niveau de savoir. La conséquence ne pourraient pas être pire.

-Sérieusement? Pourquoi elle? Mais, j'en ai tellement rien a faire de cette gamine. Elle est curieuse, mais pas dans le bon sens. Elle est chiante et surtout, je ne suis pas la pour elle. VOus savez parfaitement que sa vie ne m'importe pas du tout.

Keisera me répondit:

-Avoir pour elle un enseignant aussi savant que vous l'êtes révélera surement tout le potentiel que je vois en elle, tâchez de prendre soin d'elle.

Je quitta le bureau avant qu'elle ne termina sa phrase avant de suivre son essence vital. Je finis par bien vite tomber sur une salle de classe ou la porte était fermé. Je vis les trois statue par la fenêtre et en plus, une crapule céleste embrassait la gamine. J'ai besoin d'en voir plus? J'invoqua un œil invisible dans la classe qui observa la scène qui continua.

"Scène déconseiller au esprits fragile et au mineur"

Le prof commenca a insérer sans demander a la jeune dame ses doigt en elle. Bon, de mon point de vue, sa me donne le droit d'intervenir avec la force nécessaire affin de l'arrêter. Dommage que je ne connaissent pas son niveau exacte et encore, je vais devoir défier les statue gardienne de l'académie. J'invoqua le Gardien runique en premier lieux puis le champion, celui capable de faire mal. Puis, j'invoqua l'ombre ne Naxramass, une créature bien particulière qui dégageait une énergie relativement monstrueuse et relativement inquiétante.

Il n'y a pas à dire, tout cela est instructif, passionnant. Si je comprends bien en recoupant...
Tout se mettai en place petit à petit lorsque je senti une main se poser sur mon épaule, me faisant sursauter puis quelqu'un me dire à voix basse :
« Générale ? C'est l'heure. Je me retourne d'un bond et reconnaît l'archiviste. Mon geste brusque à attiré l'attention des deux élèves installés à la table voisine qui se moquent discrètement de moi. J'y réponds sur le ton le plus professionnel possible :
-Hein ? Déjà ? J'arrive. Merci.
-Je vous ai fait peur ? Laissez, je vais les ranger. Me réponds il en voyant que je fermait un à un les différents livres étalés devant moi.
-Oh...Non, pas vraiment. Je n'ai pas vu le temps passer. Merci car je déteste être en retard. 
-Dois je comprendre que vous reviendrai bientôt ?
-En effet. A bientôt. » et le quitte après avoir adressé un sourire moqueur aux deux élèves qui détournent le regard, comme s'ils me craignaient.

Je quittais la bibliothèque en croquant ma pomme après avoir soigneusement replié mes notes car l'archiviste m'a rappellé que j'avais réunion. J'avancai rapidement dans les couloirs en direction de la sortie en me demandant pourquoi le temps passe si vite lorsque je fais des recherches. Plus exactement la relativité du temps me trouble tous les jours car rares sont les moments ou je ne suis pas absorbée par ma tâche. Le fait que le temps passe si vite est bon signe mais il va falloir que j'apprenne à mieux le gérer pour moins peser sur mes subordonnés ou autre collaborateurs plus ou moins occasionels, comme cet archiviste. Il à pris l'habitude de me demander à quelle heure il doit me prévenir pour me simplifier la tâche et l'en remercie à chaque fois car il n'a pas que ça à faire.
Mes pensées furent troublées par une infecte puanteur, le genre qui vous hérisse les plumes : de la magie noire, de la nécromancie. Je ralenti et la humme, ça donne toujours la nausée donc range ma pomme et vois une liche qui incante un sort.

J'ai un bref mouvement de recul car...Non, pas le moment de subir ça. Des liches, il y en à plein donc aucune raison que ce soit celle la. La liche en question est un agent runique or je suis à l'Académie. Cette liche ressemble à celle qui nous a tous tués mais c'est probablement parce qu'elles sont toutes des cadavres que j'ai cette sale impression. Je chasse ce retour impromptu du trauma car cette liche observe de façon menacante l'entrée d'une salle d'où il émane du bruit dont un cri de jeune fille. Une élève se fait attaquer par cette liche et un complice ?   Ni ue ni deux je sprint jusqu'à l'entrée de la salle et tombe sur une scène glacante :
Dans cette salle de classe, un ange d'âge mature viole une élève. Je le prends en flagrant délit. Sa main est...dans l'entrejambe de la jeune fille qui est figée, prise par surprise, un des élément constitutif du viol. Mais que font ses trois protecteurs ici ? Depuis quand il y en à dans les salles de classes ? Etait ce prémédité ? Pensée glacante faisant définitivement fuir mon PTSD.

Qu'il soit prémédité ou non là n'est pas encore la question. Cette élève est en danger donc doit intervenir. La non assistance à persone en danger: très peu popur moi. Je me campe entre les deux agresseurs donc la liche et l'ange et  ordonne à l'ange:
« Vous êtes en état d'arrestation. Lâchez cette jeune fille et suivez moi. » Ne m'attendant pas à ce qu'il coopère je met en place mon bouclier et mon buff de puissance, juste au cas où on en vienne aux mains. Je n'avais pas prévu d'interpeller qui que ce soit donc ne suis pas équipée et n'aime pas être en retard.