" DaNs lA SalLe De ClAsSe, DuNnAn a rAiSoN. Je sUiS DuNnah-gne..! "

《 Dans la salle de classe, Dunnan a raison. Je suis Dunnan! 》Qu'est-ce ce que c'était que ce type qui parlait à la troisième personne. Oh-mon-dieu que c'était gênant. L'académie en était rendu là maintenant. Déjà qu'un prof la reluquait et maintenant ça. Ça allait être quoi le prof après ce clown. Tout ceci avait été sa réaction face à cet hurluberlu qui parlait plus fort que les autres pouvait tolérer d'entendre. Ce n'était pas une blague, durant sa présentation complètement extraordinairement extravagante pour rien, Akiza avait enfoncé son visage entre ses bras. Ainsi couché sur le bureau, donc cachée, elle pouvait plus voir ce phénomène en train de s'agiter devant toute la classe.
Le comble dans tout ce cirque. Plusieurs autres filles de la classe le trouvait séduisant, beau charmeur.
Un fan club tant qu'à y être ? On va lui faire un autel! tant qu'à trouver des idées complètement connes pour booster son égo! Soupir, profond soupir.
L'académie était mieux avant.

Akiza croyait que ce cours n'allait se finir. Quoi que le fait que celui-ci venait de se finir plus tôt et, aussi, sans devoir, cela lui faisait vraiment suer. Notre jeune sorcière aurait bien aimé se plonger la tête dans un livre ou deux afin de se remettre de cet péripétie de merde avec ce clown de Dunnan. Ce n'était pas dans son habitude de se réjouir d'un manque de travaux. Justement, cela lui faisait grave chier, car cela pouvait lui occasionner un retard fou! Plusieurs élèves voyaient cela comme un congé gratuit ; Akiza en devenait anxieuse une fois dans le couloir. Elle ne pensait qu'à ça en marchant vers sa chambre qui se trouvait un étage plus haut. Soudainement, Akiza reçu une claque sur une fesse, se qui eut pour effet de sortir Aki de ses rêveries, mais non-seulement cela, elle senti la main se faufiler sous sa jupe afin de lui saisir toute la fesse.
Akiza se voyait extrêmement choquée par cet affront.

- Yo Aki! On a cours dans la même classe. On y va ensemble ma belle ?

Rapidement, notre jeune studieuse le saisit afin de le plaquer contre le mure en maintenant sa jupe. D'un regard noir, elle fusilla son larbin. D'une voix autoritaire elle lui dit :
- C'est quoi la règle, hein ? Ça ne me dérange pas que tu me pogne les fesses, mais pas en publique! Il te faut de quoi en échange avant tête de noeuds!  

- Ce n'est ma faute si tu as un beau cul irrésistible, Aki. Dit-il en sortant un document qui appartenait à Monsieur Wilforth.

- Grrr... , grogna-t-elle légèrement.  Comment as-tu eu cela, en le volant ? Combien de choix je t'ai dis de ne rien voler!  Dit-elle en le prenant par télékinésie afin de laisse seulement les empreintes de Sazz dessus.

- Pour toi c'est Akiza.  

Le document se rendit près d'Akiza pour que celle-ci puisse le regarder. C'était bien sa copie d'examen où, sa note, était toujours aussi parfaite. Dans la copie, il ne semblait pas y avoir une seul erreur. Ce n'était pas étonnant. Akiza était l'une des élèves les plus brillante de l'académie. Mais c'était quoi son problème de voler sa copie alors qu'il ne pouvait que demander ? Les " échanges " ne devaient pas être des trucs voler, voyons! Ce démon ne comprenait rien à rien. Notre jeune sorcière soupira longuement en croisant les bras. Est-ce que c'était elle qui était trop dure ou c'était lui qui était complètement incorrigible ?
Akiza lui fit signe de le suivre. De toute façon, elle risquait peut-être d'avoir besoin de lui tôt ou tard dans le bureau de la directrice.
Là où ils se rendirent.
Quelque chose avait attiré son attention et elle voulait le fin mot de cette histoire.

Autant qu'elle ne le supportait pas, autant elle appréciait sa présence. Oui, elle le traitait comme un larbin lorsqu'elle avait besoin de lui, mais en échange, notre jeune studieuse l'aidait à monter sa moyenne. Justement, sa moyenne commençait doucement à monter depuis une semaine ou deux. Ce n'était pas qu'elle voulait un larbin intelligent ou autre, mais pour l'image-même de l'académie, Akiza voulait que ce petit démon représente autant l'académie qu'un autre. Évidemment, notre jeune première de classe n'était pas purement tyrannique. Oui, elle était sévère, mais elle lui offrait différents privilèges de son choix lorsqu'il le méritait ou en échange d'un service rendus.
Sazz n'avait pas été difficile à convaincre sur certaines offres, Akiza non plus d'ailleurs. Le privilège qui choissait le plus souvent lorsqu'il le méritait c'était de caresser les fesses sous sa jupe.
Cela ne la dérangeait pas plus que cela, car souvent il le faisait lorsqu'elle lisait son grimoire.
Akiza voyait cela comme un massage.
De plus, ce larbin pouvait être très utile. Car lui aussi il avait des information sur le professeur Dunnan.
Il n'avait pas seulement enseigné à une seule classe.

Une fois dans le bureau, quelque chose qu'elle appréciait bien plus que les études attira l'attention d'Akiza. Un gâteau au fromage avec un coulis au fraise. Il avait l'air tellement bon! Qui aurait cru qu'elle aimait plus les sucreries que les études. Si Akiza était une démone, elle serait très fortement une démone de la gourmandise, même si elle faisait attention à ligne. Quoi qu'elle possédait le type morphologique auquel son corps ne grossissait pas dès lorsqu'elle voyait seulement un gâteau. Son poids restait stable, par chance, car il n'y avait pas une fille plus paresseuse qu'elle. Elle serait une démone de la gourmandise ou de la paresse ? Cela restait à voir. La directrice lui offrait, car elle n'avait plud faim. Comme c'était gentils! Ce qui fit sourire notre jeune élève parfaite. Elle prit la petit assiette qui contenait le gâteau.
Mais ce connard de Sazz fallait qu'il ajoute une couche avec un commentaire sans réel contexte.

Une fois assise, L'assiette se posa délicatement sur ses cuisses. Elle resta silencieuse un moment.
Akiza l'avait vraiment mal prise, voire beaucoup attristée.
- Comment oses-tu m'attaquer aussi directement... Je t'ai appris des sorts, je t'ai aidé à monter ta moyenne. Le conseil des élèves t'a accueilli. Je t'ai même acheté de la nourriture lorsque tu avais faim... moi qui t'offre des privilèges lorsque tu fais de ton mieux... Je t'ai laissé me tripoter les fesses pendant 1 heure avant-hier!

Pourtant, elle lui avait dit durant la marcher de la laisser parler de ce qui c'était passé dans la classe de Monsieur Dunnan et de son dragon. Ce n'était pas vraiment le dragon qui avait attiré son attention. Akiza savait  bien évidemment qu'il existait quelqu'un qui pouvait en invoquer un. C'était sûr, l'invocation ouvrait la porte d'une infinité de possibilité! C'était même la base de la magie! C'était juste lui qui croyait que l'invocation était LA meilleure magie, alors que non. Ce qui avait beaucoup attiré son attention, c'était cette Sentinelle. Elle en imposait et elle était extrêmement puissante. Notre jeune sorcière avait déjà vu des sentinelles à l'oeuvre de cette façon, mais pas comme elle. Le dragon s'était fait dissiper d'un claquement de doigt. Un! Dragon! Ce n'était une petite bête. Ce qui montrait que les sorts d'invocation n'était pas invincible non plus. Akiza avait encore cette scène dans sa mémoire. Comment le dragon l'avait aggripé, mais aussi comment il s'était dissipé. Il était clair que la sentinelle avait été modifié. Elle n'était pas comme les autre.
Elle ne le savait pas, mais ils étaient nommé Gardienne, une classe de sentinelle qu'elle n'avait jamais vu.
Après sa dernière bouchée, oui, elle l'avait mangé très rapidement.
Akiza dit à la directrice :

- Ah, je viens ici pour une information.  C'était quoi cette sentinelle qui a dissipé ce dragon comme si c'était un insecte ? Est-ce que je pourrais l'étudier pour en apprendre plus sur elle. S'il vous plaît.  

C'était à peine si elle voulait se mettre à genoux pour la supplier d'accepter.
Une telle sentinelle méritait bien qu'on l'étudie un peu se disait-elle. De plus, elle avait son larbin avec elle justement pour l'aider. Il s'améliorait de toute façon.

La directrice ne voyait pas le commentaire complètement gratuit de Sazz comme une attaque ou une insulte. Mais comme un chance de réaliser que parfois elle s'emportait pour rien. Il était vrai qu'Akiza, parfois, manquait de tolérance et de patience. C'était plus fort qu'elle. Elle voulait que tout aille dans son sens pour améliorer l'image de l'académie. Peut-être était-elle trop dure ? Quoi qu'il aurait pu au moins filtrer son commentaire qui l'avait profondément blessée. Ça avait été une vraie flèche au coeur. Sa mère avait été tout pour elle. Notre jeune sorcière écoutait les dires de la directrice silencieuse, les yeux dans le vide.
Alors que tout à coup, une voix bref sorti du phylactère. De quoi la faire légèrement sursauter. Cette voix semblait froide et presque sèche. Un objet qui parle ? Cette voix lui disait quelque chose. Était-ce la liche. Elle pouvait à peine entendre ce qu'elle disais. Mais la dernière ligne qui disait que, cette personne, détestait les élèves qui tentait des décrocher les astres pour une simple faveur. C'était bien la liche.
Akiza ne faisait pas ça, si ?

Après ce qu'elle avait entendu, Akiza ne pouvait pas rechigner afin d'avoir ce qu'elle voulait. Elle était maladroite, mais las complètement idiote. C'était dommage. La sentinelle qui faisait partie de la classe des gardiens semblait tellement intéressant à étudier! Les secrets qu'elle devait renfermer devaient être juste innombrables et complètement insane. Ce n'était à cause d'un manque de confiance, mais plutôt un risque à ne pas prendre. Notre jeune première de classe comprenait. Elle hocha la tête, main contre ses cuisses, pour démontrer qu'elle comprenait les circonstances. Un petit pas en avant, mais son visage montrait légèrement qu'elle était déçue tout de même un peu. Sa foutue curiosité, parfois c'était un défaut chez elle.
Tout de même, sa mère lui manquait terriblement. Il fallait qu'elle l'accepte. Keisera n'était pas sa mère, mais la nouvelle directrice.
Akiza s'inclina légèrement :

- Je comprends madame la directrice. Je comprends que vous faites cela pour me protéger et protéger tout le monde. Je vais essayer d'aussi être plus tolérante et patiente afin de moins vous déranger.

L'étude de la sentinelle allait être pour bien plus tard semblerait-il. De toute façon, le mec au dragon blanc qui parlerait à la troisième personne avait déjà été renvoyé. Il n'y avait aucune trace de lui. Akiza ne pouvait donc pas rechigner afin de faire quoi que ce soit, elle ne pouvait pas faire pire que de le renvoyer. Dommage pour lui, cette académie était juste extraordinaire. En tout cas, aux yeux de notre chère sorcière. Elle l'avait rien à dire de plus, sauf le fait de la remercier pour son temps attribué. La rencontre avait été instructive, en quelque sorte  Akiza s'était faite un peu rentrer dedans par quelque commentaires. Plusieurs blessante, mais elle devait justement apprendre à être un peu moins susceptible à l'avenir. Un peu moins égoïste par aileurs, le monde ne tournait pas autour d'elle. Ça, ça allait être un autre défaut qui allait être difficile à travailler pour elle.
Akiza avait vécu seule toute sa jeunesse jusqu'à l'arrivée de sa mère adoptive.
Encore là, sans soeur ni ami, notre jeune introverti vivait toujours aussi seule.

Le temps venait de sortir. Akiza prit soin de jeter la petite assiette en plastique avant de sortir. Toujours en remerciant directrice pour ce somptueux dessert, Akiza et Sazz sortir du bureau. Elle s'étira aussitôt sortie. Enfin un changement d'air. Du coin de l'oeil, Elle vit que Sazz, son larbin, la fusillait du regard. Un regard qu'elle connaissait peu. Il voulait son profile ou quoi ? Qu'avait-elle fait encore ? Celui-ci dit d'un ton moqueur  :

- Ton cul ne sera plus irrésistible si tu te goinfre toujours de la sorte.

Bien évidemment, elle se retenait pour ne pas s'enflammer, mais après les commentaires qu'elle avait eu :
- Quoi !? s'écria-t-elle. Je mange ce que je veux c'est compris! De plus, tu peux oublier tes privilèges pendant les trois prochains jours!
Toujours aussi autoritaire.
- Hihi, ricana-t-elle ensuite. Je blague, si tu veux ce soir, je te laisserai tripoter mes fesses aussi longtemps que tu le souhaites. Je sais que parfois je suis un peu vache... Je suis désolée...