| Yreza
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| Sujet: Halte-là! (RP Métier) Lun 5 Sep - 6:12 | |
| Je faisais une des rondes pour sécuriser les grandes villes, pas que la criminalité soit si élevé, mais pour apporté une présence militaire qui sécurise le peuple. Mon compatriotes dormait sur son poste. Je pourrais le dénoncer, mais ça ne regardait aucunement les gradés. Si le boulot est fait... cela me permet de passé du temps seul. C'est mieux ca que du temps mal accompagné, sans être méchant avec lui.
Les citoyen étaient occupé dans leurs affaires, les achats de bien, la revente, les promenades. Tout allait pour le mieux pour tout le monde. Une autre journée calme, comme nous les aimons tous. Un groupe d'individue attira ma curiosité. d'une habileté hors norme. Ils prennaient les bourses de tout le monde sans se faire remarqué par leurs cible... sauf moi. Le finis par les prendre en filature jusque dans leurs repères. L'un d'eux me demanda:
-Comment on appel un soldat qui patrouille seul? Un idiot... Prépare toi a ne plus revoir la lumière du jours.
Je soupira en sortant mon arme, ce qui ne semblait pas les faire reculés. Ils étaient armés d'une épée chacun. Je leurs fis la sommation. Même si il n'y avait pas de témoin valide de mon coté. Merci collègue j'espère que la sieste est bonne.
-Rendez-vous ou je serais forcé d'utiliser la force!
Ils se mirent a éclater d'un rire sincère. Si ils savaient... je ne suis pas la plus connue, mais je suis aussi térrible voir plus que les autres. Sans prévenir, j'abatis la pointe de ma faux dans l'un des hommes et lui sectionna la moitier de son torse a un endroit bien précis: Je venais de trancher le cœur et les deux poumon, le laissant dans une agonie terrible. Les deux autres semblaient surpris. Arrêtant de rire pour essayer d'en finir avec moi. Je donna un coup de lame vers l'un d'eux, le forçant a reculer pour ne pas mourir. Je venais d'isoler ma vrai cible: celui qui avait suivi. d'un geste vif, j'attrapa sa gorge et lui arracha la trachée puis lui donna un violent coup de pied pour le faire tomber au sol, dans une agonie plus qu'effrayante. Le dernier semblait avoir peur, genre, vraiment peur. Il tenta de prendre la fuite. Je lui fit un croche-pied avec ma faux, le faisant tombé au sol. j'alla vers lu. J'aurais pu lui passé les menottes, mais il avait essayer de me tuer, puis... il n'y aurait aucune preuve. Je mis ma faux sous sa gorge et mis un pied sur son dos, forçant pour lui couper la tête. Chose qui fut aisément fait. |
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