La première fois que je l'ai vue de mes yeux bleu, au début, j'en croyais pas mes yeux. Comme deux gouttes d'eau, elle lui ressemblait trait pour trait. Belle, Ravissante, splendide, il n'y avait pas de mot pour décrire la beauté transcendante qu'elle incarnait. Au centre de d'un jardin de fleur, nos cheveux dans le vent. Elle s'était retourné vers moi, puis... Je suis tombé sous son charme. Son sourire était autant, voire plus, magnifique que ses yeux.
Je me suis approché, croyant à une hallucination venant de ma rapière Masterpeace. Disparue, j'avais beau chercher, elle n'était nulle part. Pourquoi me faire vivre cela, car je le savais que j'étais maudit et que je n'avais pas le droit à ce genre de bonheur.
Comme si je chassais son fantôme, je ne pouvais qu'espérer la revoir à nouveau. Qui était-elle ? Que faisait-elle là ? J'avais tellement de questions à lui poser. Dans le fond...
Au plus profond de moi, je savais...
Que j'avais besoin d'elle.
Si ce n'était pas dans cette vie, ce serait dans une autre vie.

Dans une vie où Alyssa n'a pas été exilé, donc n'a jamais reçu sa rapière Beloved Valkerie ;




Il faisait tellement beau aujourd'hui. Si seulement elle pouvait sortir comme une femme de son âge. 100 ans d'âge d'ange et elle ne pouvait toujours pas sortir. Dans un monde où elle pouvait sortir comme elle le souhaitait, elle soupira, est-ce qu'il exisait vraiment ? On pouvait croire qu'elle était seulement condamné à èrer contre sa volonté dans sa cage dorée, comme un simple objet politique. Elle voulait s'évader, comme toute jeune femme de son âge. Vivre des aventures, avoir des ami(e)s, connaître l'amour, c'était ce qu'elle souhaitait au plus profond d'elle. Sortir avec lui, comme s'il n'y avait pas de lendemain, non, au lieu de cela, elle était coincé dans sa chambre, car elle était écoeurée de toujours voir les même murs du palais. Notre jeune princesse enviait les anges normaux, être une princesse d'un puissant roi, c'était de la merde.
Couchée sur son lit, la tête sur son oreiller. Est-ce que cette-ci était mieux ? C'était une question à se poser. Doucement, elle ferma les yeux en se rappelant de ce jour où elle avait vue ce jeune homme qui ressemblait à un prince dans le jardin fleuri. Est-ce que ce jour là avait été un rêve ? C'était pratiquement impossible à dire, tout les jours qu'elle vivait se ressemblait au point qu'elle en perdait la notion du temps.
Un autre rêve, comme si c'était un mode parallèle. Se pouvait-il que ?

Mes prémonitions ne m'avaient jamais trompées. Son père n'était pas d'accord sur les sentiments que j'éprouvais pour elle. Il était furieux au point de me menacer de m'exiler. D'autre vision, chaos, d'autre vision, destruction, d'autre vision : " Je l'ai détruirai tous! je l'ai effacerai de la surface de cette terre.  "
Je posai ma main sur l'épaule de la princesse, encore une fois, elle s'était endormie. Son sommeil était agité. Avait-il fait un cauchemars ? Moi aussi...
Ses yeux s'ouvrir doucement et se tournèrent vers celui qui avait posé sa main sur son épaule.

- Azriel ? Que faites-vous ici ?

- Vous ne devriez pas dormir hors de votre chambre, cela peut être dangereux.

Alyssa s'était endormie sur le banc du jardin fleuri du palais. Est-ce qu'elle attendait quelqu'un ? Jamais elle ne se l'avouerait. Azriel était peut-être bien gentils, mais il restait tout de même un type banal né hors de la noblesse, de plus, il n'avait pas d'ailes. Ses yeux cristallins se détournèrent aussitôt en rougissant légèrement.
- Vous avez raison, champion Azriel.

Pourquoi rougissait-elle ? C'était un bourgeois! Peut-être même moins! Ou peut-être... Elle était une princesse!
Aussitôt, il fit un sourire. Azriel était si protecteur. Ce n'était pas étonnant qu'il était le champion d'Azamaëld. Encore plus profond, il semblait ne pas voir Alyssa comme un objet politique, mais bien autrement ; un être vivant, oui. Le champion présenta maintenant sa main, sachant le souhait de la jeune princesse : s'évader. Cette dernière prit sa main. Où allaient-ils ? Non loin, juste un peu plus loin dans le jardin. Plus loin dans le jardin, il y avait une superbe vue sur la mer de nuages. C'était si beau... À chaque qu'elle regardait la mer de nuage, elle se demandait s'il y avait des terres plus loin. Selon Azriel, oui.
- Un jour, je t'y amenerai, Alyssa, je te le promets.

Azriel ne possédait pas d'ailes, comment allait-il faire pour l'amener de l'autre côté de cette mer de nuages ? En tout cas, il y avait tellement de détermination dans sa voix, qu'elle ne pouvait s'empêcher de le croire. Ses yeux se tournèrent une nouvelle fois vers l'océan de nuage.