Une rencontre avec le général Lagos. Je ne suis pas surrprise d'apprendre que Berm'hude a commis ce que le code éthique appel: crime de guerre. Je sais parfaitement que les argument de cette liche lui sert qu'a bien paraître en publique. Il ne voulait aucunement protéger les runiques, il était bien présent pour tuer. En même temps, vue la réputation du territoire, pénétrer leurs frontière, même avec leurs permission est complètement dénuer de sens commun. Cela n'est qu'un risque. Parmis tout les stratège de bataille, professionnel en terme de géopolitique, j'ai paine a comprendre que personne ne lui a signaler la zone de danger. Peu importe ses raisons, ce puissant mage d'une autre époque a certe agis avec un code éthique plus que douteux, mais aucun traité légal n'a été signé ave son peuple, ce qui les places en ennemie de leurs état, mais ne le condamne aucunement, c'est triste, mais c'est la vie. Justement, personne n'a prévenue. C'est bien bizarre. même dans le feu de la bataille, quand quelque chose de plus dangereux que ton ennemie existe, tu le notes quand même. J'envoya un message via l'une des sentinelle a Lagos avant de faire mon tour, moi aussi vers la lame runique:

La sentinelle voyagea a travers l'école pour livrer le message suivant:

"Malgré votre crainte pour cet agent runique, prenez en considérations qu'aucun de vos subalterne ne vous a prévenue de la proximité de la frontière runique, bien que son code morale soit répugnant, essayez de comprendre ce que vos lieutenant auraient du faire pour éviter ce genre de massacre. Lors de la convocation de ce violeur envers Akiza, avant de mourir, il vous a donné un précieux indices. J'entends encore sa voix a travers les sentinelles: Ce n'était pas mon idée" Si vous voulez lui parler, je peux vous en redonner la chance dans des conditions favorable et vous faire voir le souvenir de cette convocation. De mon coté, sa sera qu'une preuve de votre enquête sur clipum et elle aura un double utilité, merci de vos service et réfléchissez a mon offre, Amicalement, La directrice "

La sentinelle prit ensuite la fuite comme un roublard, comme si il avait quelque chose a cacher, en faite, les couloirs menant a la lame runique devait être surveiller et elle avait simplement du travail a faire.

Nous  avançons dans le couloir en direction du lieu ou à été déposée Sanguinium afin de remplir la mission initialement prévue. M'y remettre me fait du bien même si j'ai du mal à digérer le flot d'informations inatendues. Pour rappel : je voulais signaler à la directrice mon arrivée, enfin la remercier pour l'aide apporter lors de ce massacre autrement qu'avec une brève lettre et rapidement lui expliquer les raisons de ma présence, le fait qu'une attaque est plus que prévisible et que je veux m'assurer que l'épée était en sécurité.
Comme ça peut arriver, rien ne s'est passé comme prévue dés mon arrivée sur place. Je ne pouvais pas m'attendre à LE croiser et encore moins à ce qu'IL n'est aucun savoir vivre, aucun tact. C'est un bon tacticien opportuniste, capable de saisir les bonnes occasions pour détruire ou déstabiliser l'ennemi quel qu'il soit mais incapable d'agir avec finesse ou tact. J'imagine que plus il aura peur et plus ce penchant se renforcera. Il ne me reste plus qu'à m'assurer d'avoir bien ficelé mon dossier et procéder à son interpellation et en attendant la négocier au mieux car il est suffisamment intelligent pour savoir ce qui l'attends.
Les bons côté dans tout ça ? Me donner un moyen de rentrer à nouveau en contact avec nos ennemis pour prouver aux va t'en guerre des deux camps que nous pouvons agir ensemble sur un problème commun et le fait de savoir où ce criminel de guerre se cache et son fonctionnement.

Je dois avoir l'air particulièrement absorbée car Oura'Nos me dit :
« Cette mission est plus éprouvante que prévue. Vous devriez demander à être relevée dés que nous aurons fait nos observation.
- Compliqué à faire vu que l'attaque peut être imminente et la relève loin d'être prête.
- Le capitaine Opsyanos est suffisamment compétent pour assurer ne serai ce que quelques heures.
- Je m'entoure toujours de subordonnés compétent, d'où votre présence. Je ralenti le rythme pour demander par curiosité :
- Explique moi comment compte tu légitimer ça ?
- Tout simplement en décrivant ce qu'il vient de se passer. Les blessures ne sont pas toutes physiques et de nombreuses zones d'ombres seront bientôt éclairicies. Rien ne laissant présager que vous en sauriez plus ici et aujourd'hui donc votre mal être est logique. Tout simple, en effet mais je ne me sent pas suffisamment mal pour me retirer. Après tout, j'arrive à penser et me défendre.
- De toute façon je vais bien donc la question ne se pose pas. »
J'évite sciemment de croiser les regards des deux autres soldats fasse à ce léger mensonge car si j'allais vraiment bien, cette conversation embarrassante n'aurai pas lieu. Mon cousin est loin d'être dupe et ne voit pas pourquoi les deux autres le seraient vu qu'eux aussi en ont vu des vertes et des pas mûres. Tant que je pense je suis capable de faire mon boulot donc demander à être relevée sera infondée et incompris.
Je me demande même si cette liche n'espère pas que je me retire pour lancer l'attaque pendant ce bref moment de désorganisation. Je n'ai pas envie de le vérifier. Cela expliquerai aussi son manque de tact et de diplomatie.

Je me recentre sur mon objectif, tourne dans le couloir suivant en marchant à vive allure lorsqu'une sentinelle viens à ma rencontre pour me diffuser un message me faisant l'effet d'un coup de poing psychique. Si j'ai bien entendu la liche qui maniait la glace qui m'a aidé à interpellé le professeur Clipum est la même que le criminel de guerre et la thèse d'un dysfonctionement n'est pas à écarter. C'est vrai qu'il y a eu un gros dysfonctionnement et ce dans les deux camps. Et si...Non, pas possible, c'est trop gros...une trahison ? Pourquoi ? Comment ?...Tout me revient en boucle la bataille est prenante...je cherche la brèche pour prendre le dessus...nous nous déplaçons...nous évitons les précipices...la liche à l'écart...la glace qui nous emprisonne tous...le froid glacial...plus pouvoir bouger...le massacre...la douleur et la peur...mais aussi mon impression de l'avoir recroisé lors de l'arrestation surprise du professeur violeur et cette phrase que je n'ai pas comprise sur le coup. Il a du me reconnaître et moi...j'ai éludé le sujet le temps de procéder à cette interpellation, de sauver la victime. STOP...Pas le moment d'y penser là. J'ai une mission à remplir donc chasse vite ce retour en force du trauma et par réflexe je me contente d'écouter et de répondre à la sentinelle sur un ton professionnel :
« Remerciez la de ma part. Je vais y réfléchir et la tiendrai informée par les canneaux diplomatiques en vigueur. » Une réponse on ne peut plus neutre que ça est impossible à fournir mais je ne me sent pas en sécurité ici aprés ce que j'y ai vu la dernière fois, ce que je viens de découvrir et la présence de cette satannée épée. Je sais que les sentinnelles sont piratables, que les runiques vont attaquer ce haut lieu de savoir car il renferme Sanguinium et que l'agent runique infiltré est celui qui a anéanti nos armées. Rien de bien nouveau sauf...sauf...Comment c'est possible ? Comment n'ai je pas pu le reconnaître ? Le trauma puis les points communs entre les deux liches m'engloutissent à nouveau...

Oura'Nos me demande au moment ou un vertige me force à me plaquer contre le mur :
«La liche avec laquelle vous avez collaboré pour l'arrestation du professeur était...
-Apparamment...je...comment...Je suis submergée par les similitudes qui me sautent maintenant aux yeux. Comment ne l'ai je pas reconnu ? J'aurai pu en interpeller deux pour le prix d'un en demandant des renforts bien plus tôt. Je me sent mal à nouveau, le vetige est violent, j'ai du mal à garder mon équilibre. Les tremblements reviennent et doit blêmir car Oura'Nos me prends par les épaules et me dit à la fois avec bienveillance et insistance :
-Assied toi deux minutes d'accord ?
-Laisse moi réfléchir. D'accord.» Et le laisse m'aider à m'asseoir. Je me sent mal et dois faire le tri dans ma tête. Tout s'entremêle...le massacre...les éclaireurs qui ne nous préviennent pas...c'est la même liche...une trahison ?....Pas possible ils sont tous morts sauf moi et la liche...

...Je ne sais pas combien de temps ça me prends mais j'émerge brutalement de nulle part. Je suis toujours dans l'académie,  Je n'ai rien compris à ce qu'il s'est passé. Je suis assise dans le couloir en me sentant mal, faible et perdue à reprendre mon souffle comme si j'avais été sonnée par quelque chose. Iéna attire mon attention en me disant :
«Générale ? Vous nous voyez ? Vous m'entendez ?
Les deux soldats sont accroupis en face de moi en me regardant avec insistance. Ils attirent mon regard avec de grands gestes de la main. Qu'es ce qu'il s'est passé ? J'ai loupé un truc. On nous a attaqué ? Je réponds à Iéna :
 -Oui. Je...Qu'es ce qu'il s'est passé ? Car il me manque un truc. Un gros truc. Je réfléchissai et...Oui, il me manque un truc mais elle me dit :
-Rien de grave. Vous avez eu un malaise.
-Ah ? J'essayai de comprendre...mais...On a pas le temps. Sanguinium. Je balaye mes impressions particulièrement glauque qui me sautent à nouveau dessus et me relève. Plus précisémment j'essaye car mon cousin me retiens contre lui donc n'arrive qu'à réveiller mes douleurs et les deux soldats me font signe de ne pas bouger. Par prudence je cesse pour regarder autour de moi et leur dit :
- J'ai pris un coup de poing dans la tête. Enfin pas un vrai. Un coup de poing bien violent.
-J'ai l'impression que vous avez été passée à tabac. Mentalement passée à tabac plus précisémment.
-Non. Juste un coup...ou deux...ou...Oui peut être. » Oui, c'est l'idée en fait.
Ils veulent que je boive un verre d'ambroisie qui s'est retrouvé dans ma main maintenue fermée par celle de mon cousin. Je me rends compte que je suis assise contre mon cousin et pas contre le mur. Pourquoi rien ne se passe comme prévu ? Vu mes ressentis j'ai du perdre connaissance et l'image du passage à tabac mental traduit bien la situation. Je regarde le verre et allait le repousser car je ne bois jamais d'alcool lorsque je vois arriver le capitaine Opsyanos, un guérisseur et deux autres soldats. Ils ont du être prévenus par télépathie.

Je me demande comment leur expliquer la situation et les rassurer. J'entends distraitement mon cousin expliquer un truc au capitaine pendant que le guérisseur me fait signe de boire le verre que je tiens et me demande comment je vais. Toujours cette question compliquée. Je me retrouve donc à lui décrire ce qu'il s'est passé depuis mon arrivée d'une voix beaucoup trop tremblante à mon goût en sirotant mon verre petit à petit pendant que deux soldats m'étalent une couverture sur les épaules puis me les frictionnent pour calmer les tremblements...
Cette journée n'a aucun sens...il pourrai se passer n'importe quoi d'étrange que je trouverai ça logique et vois mal comment me sortir de là à moins ce...que les runiques attaquent dans les minutes qui viennent ? Ils tenteront quelque chose, c'est sûr. Le meilleur remède contre les réminiscences reste l'action.

Ici j'écrirai la rencontre de mes trois personnages qui, elles, héritent tous de quelques chose. Vous pourrez reconnaître leur intégration via les titres suivant : Erotica, Akiza ; Maiden, Ayame et Valkerie, Alyssa. Où leur code de couleur sont aussi, Jaune, magenta et cyan qui, eux, sont les couleurs primaires \o/ j'espère que cela va vous plaire.


Akiza sortit de la salle de cour réservé pour son club de recherches runique. Tout le monde s'en faisait pour elle, mais notre jeune sorcière était capable de s'occuper d'elle-même. Merde, Aki n'avait plus quatre ans, elle n'était plus une enfant. Même épuisée, elle n'était pas dupe et savait quand s'arrêter pour se reposer. Ok, non, mais quand même, notre jeune studieuse savait tout de même s'occuper de sa santé. Même prédisente de ce club, ce même club l'étouffait au point qu'elle en suffoquait. Heureusement qu'elle pouvait maintenant désactiver quelques sorts de protection depuis qu'elle était rendue l'assistante de la liche. L'orbe en main, Akiza allait pouvoir l'étudier tranquillement dans sa chambre sans qu'il y ait quelqu'un pour la déranger. Si seulement notre jeune chercheuse pouvait utiliser ce pouvoir. Avec cet orbe, elle pourrait trouver plusieurs artéfacts et sûrement voir son rêve se concrétiser.

" GROOOOWL!!! s'écria ce cri dans sa tête "

Ce cri démoniaque. Ce cri se faisait entendre depuis ce foutu accident dans la classe de son ancien professeur, comme s'il avait réveillé. Akiza, tourmentée, avait beau lui dire de fermer sa gueule, rien. Cette voix, ce cri terrifiant ne voulait rien entendre, comme si elle ne voulait qu'entendre sa propre voix. Notre jeune tourmentée avait vue une femme avec une robe rouge il y a une semaine, mais pas son visage. Depuis, maintes cauchemars. Akiza faisait beaucoup de terreur nocturne lorsqu'elle était toute jeune, mais jamais de cette envergure. Comme une maladie, on se renforçait jusqu'à l'immunité ; ce fut pareil jusqu'à ce qu'elle ne le soit plus. Pensées, pensées, rêveries, rêveries, Akiza ne savait plus quoi faire au point qu'elle commençait à croire qu'elle était Schizophrène. Elle avait plusieurs symptômes, surtout celle d'entendre des voix. Comment avoir confiance en soi après ?
Pourquoi il fallait que ce prof soit si dérangé, peut-être qu'elle aurait été heureuse finalement. Deux dérangés.

Une jeune jouvencelle au cheveux bleus passèrent près de notre belle rêveuse. Ses yeux ne se tournèrent même pas vers elle, tellement elle était absorbée par ses pensées. Bang. Akiza entra en collision avec une inconnue pour ensuite retomber sur ses fesses.

 - Hey! Regarde où tu vas lorsque tu marche!   Dit-elle énervée.



Jeune fille à l'oeil de rune. Tu vois ce que les autres ne voient pas. Tu vois la peur, tu vois la joie et la tristesse, tu vois la vérité.
Notre jeune jouvencelle venait de quitter le bureau de la directrice. Cette dame était si gentille, maintenant Ayame savait que sa réputation n'était pas un mensonge. Si le monde regorgeait de personnes comme cette femme, le monde irait beaucoup mieux. Pas de peine, pas de peur, juste la vérité. Une aura bienveillante, c'était ce qu'elle dégageait. Notre jeune héritière se trouvait en lieu sûr, enfin. Maintenant, elle devait regagner l'infirmerie pour aller chercher ses affaires, même si les infirmières allaient l'empêcher de repartir. Pourtant, elle était capable de se déplacer toute seule, le seul hic, c'était sa rune. Heureusement, elle portait toujours ses bandages dans le but de laisser ses yeux se régénérer.
Pourtant, sa rune lui permettait de voir en partie où elle allait, facile, Ayame suivait les pistes magiques laissées par les sentinelles. Le point faible de cette stratégie, c'était qu'elle allait dans le sens opposé de l'infirmerie.

Sa rune bougeait d'elle-même afin d'analyser les sources de magie, comme à son habitude. Droite, gauche ; énergie magique analysée. Haut ; analysé. Cible étrange en vue, verrouillage. Ayame vit une sentinelle un peu bizarre. Pourquoj avait-elle des tâches noires accompagnée d'une aura nauséabonde. Beurk, dégueux, la sentinelle a sûrement dû tomber dans les — non. C'était plus inquiétant que cela. Sa rune se deplacèrent, grace à sa vision qui ignorait les obstacles physiques, elle vit qu'une autre commençait cette " mutation ". Une sentinelle qui tombe dans les chiotes, ok, mais pas 3. Oui, car une troisième commençait aussi cette étrange mutation. Qu'est-ce qui faisait en sorte de ces changements.
Notre jeune jouvencelle devait mettre cela au clair le plus rapidement possible.

Lors de sa marche en direction de l'une de ces sentinelles tachetée, Ayame croisa une jeune femme à l'aura rose avec... du rouge ? C'était étudiante avait deux auras ? étrange. Elle l'avait ignorée, mais pas Ayame qui, elle, analysait son aura avec munitie. C'était la première fois qu'elle voyait cela hors femme en enceinte.
Notre jeune héritière à l'oeil de rune avait déjà vue des femmes en enceinte. La deuxième aura se logeait plus au niveau de l'abdomen, mais là, dans le cas de cette jeune femme, c'était tout son corps.
Comme Dame Keisera dirait, il n'y avait pas de monstre, juste des différences.

- ...




Cela faisait bientôt 1ans que j'étais dans cette académie et je m'étais jamais autant ennuyée. Je suis une aventurière! pas une intello sans-âme et sans ambition. Je veux voir le monde! pas les murs...

Notre jeune princesse Céleste se trouvait dans son dortoir en train de nettoyer sa rapière : Beloved Valkerie. Depuis qu'elle l'avait obtenue, Alyssa la nettoyait au moins une fois par jour jusqu'à ce que la lame puisse refléter ses yeux de gemmes en regardant cette dernière. Quelle belle épée, notre jeune ange se voyait totalement obnubilée, non, hypnotisée, pire, obsédée par cet relique. Un petit sourire, cette lame était en quelque sorte son symbole à présent, son ambition toujours plus grandiose, majestueuse et tranchant. Huhu... Petit rire, une mèche tombe afin d'accompagner son visage. Cette mèche de cheveux voulait se faire refléter par la lame, c'était normal peut-être. Une mèche jalouse. Une futur Valkerie qui allait juger. La lumière était tellement vive dans ce royaume qu'Alyssa pouvait y traverser  comme un pont mystique.

Une fois debout, notre jeune ange avait beau être une Princesse, mais elle était aussi une élève à son plus grand désarroi. Devant le mirroir, toujours avec cette mèche qui longeait son visage, elle se contempla avec une expression légèrement inquiétante. Quelque chose avait changé chez elle ? Non, elle avait toujours été comme ça, c'était juste qu'elle le cachait trop bien. Alyssa enfila ensuite sa robe de princesse par dessus son bustier. Sa cape royale, étui, Beloved Valkerie à l'intérieur. Alyssa pouvait garder sa rapière à la condition qu'elle ne la dégaine jamais dans l'enceinte de l'académie. Une fois recoiffée, notre jeune princesse se retourna afin de sortir de son dortoir. Malheureusement pour elle, elle avait cour.

Dans une intersection, notre jeune princesse entra en collision avec une étudiante. Alyssa n'avait pas bougé d'une poil, à croire qu'elle était plus imposante qu'elle en avait l'air. Celle-ci lui cria après comme quoi de regarder où elle allait. C'était ce qu'elle faisait, ce n'était pas comme si elle était pressée de toute façon. La princesse Céleste lâcha un soupir.

- Oh, mes excuses Mlle.Sans-culotte, je ne savais pas que le couloir vous appartenait.

Cette jeune élève aux cheveux roses se couvra en baissa sa jupe. Elle faisait bien. Une autre personne qui est en contradiction avec elle-même. Il y avait vraiment des gens bizarre dans cette académie.

Plus loin dans le couloir, remarqua une troupe d'ange dont plusieurs elle reconnaissait. C'était l'escouade de Ornëa'Naé. Que faisait-elle ici ? Notre jeune princesse accourut vers la générale qui, elle, semblait bien mal. Encore une fois, elle faisait un malsaise dû à son passé. Elle ne disait rien, elle ne faisait qu'observer la scène silencieusement. Ces types essayaient de la réconforter. Ce n'était pas comme ça qu'il fallait s'y prendre. Les yeux de gemmes de notre princesse étaient couvert par sa chevelure. Et dire qu'elle prenait Ornëa'Naé comme sa mère de substitution. Subtilement, comme si elle se faufilait telle une assassin ayant trouvé sa cible, Alyssa passa sans aucune gêne. Plusieurs se demandait ce qui lui prenait et surtout qui était-ce. Il était vrai que l'accoutrement d'Alyssa avait beaucoup changé et ses cheveux avaient beaucoup poussés depuis ces années ici.
Près de la générale, ses yeux rouge fluorescents se révélèrent, une précaution au cas où quelqu'un voudrait s'en prendre à elle. Ses yeux écarlate, étincelant comme des rubis fixèrent Ornëa'Naé. Un regard, froid et inquiétant. Ses lèvres s'approchèrent de l'oreille de la générale. L'étui qui contenait dans rapière se posa au sol, comme un appuie. : Hey...

- Tu te souviens de ce que je t'ai dis ? On ne peut reculer lorsqu'on vole. Où est passé ton courage ? Est-il parti avec tes troupes ? Rappelle-toi de ta venue ici. Penses à ton sang, mon sang, qu'on devra verser pour atteindre notre liberté, ksst Fit-elle en se retenant de lui dire qu'elle était pathétique avec ses histoires de traumatisme. C'est le cycle que nous avons construit et on y mettra une fin dans 10ans. Tu es mes ailes. Continue d'aller de l'avant. Rappelle-toi... rappelle-toi!

Ses soins n'étaient pas gratuits aux malheur de plusieurs.
La jeune jouvencelle au cheveux bleue se retourna, même loin, sa rune avait pu assisté à la scène en quelque sorte. Cette aura, elle était autant inquiétante que chaleureuse.
- Huh, dit-elle étonnée.

Une pion d'échec. Il coinça le roi une fois la reine vaincue. Un sourire narquois. C'était ce qu'on appelait un échec et mat.

- Échec et Mat, Thulagg

- Quoi! Comment Thulagg peut perdre ? Thulagg a tout calculé!

- Tes mouvements sont trop prévisibles. Tu as perdu dès que tu as touché ton premier pion.

- Impossible! C'est impossible! Thulagg ne peut pas être lu aussi facilement, dit-il en faisant semblant de pleurer.

Un petit sourire.
- Tu crois vraiment avoir vaincu Thulagg aussi facilement, hu hu hu, ajouta-t-il alors que les pièces commençait à changer de place mystérieusement.

- Impossible...

Même avec ses cent'yeux, Kana n'avait rien vu venir, qu'elle était son pouvoir ? Il pouvait changer la position des objects ? Est-ce qu'il pouvait le faire avec les personnes ? Se disait-il alors que soudainement, il se trouva à la place de Thulagg en moins d'une fraction de second. Incroyable. Son pouvoir était vraiment fascinant, ce n'était pas pour rien qu'il incarnait la fourberie. Kana, lui qui incarnait la malice, ne savait plus trop quoi dire. Il était le plus intelligent des quatre apôtres, mais ce " clown " venait de retourner son intelligence contre lui. Il finit par faire un sourire, il l'avait bien vaincu, effectivement, notre abomination avoua donc sa défaite.
Les pouvoirs lors de ce match d'échec furent autorisés, cela donnait un en jeu assez epic selon le jester qui se marrait à chacun des pions joués. Maintenant, Kana comprenait pourquoi il riait comme un troll. La prochaine fois, il allait trouver une stratégie afin de le contrer. Typhanie allait devoir essayer de le vaincre une fois de retour. Kana se leva en se dépoussiérant alors que le Jester lui demanda s'il voulait jouer une autre partie, mais Il refusa, il avait autre chose à faire. Quelque chose d'important.
Alors que Typhanie se rendait à son point de téléportation, Kana se rendit dans ses quartiers personnels.

Typhanie allait bientôt arriver à son point de téléportation, avec une étrange pierre en main. Cette pierre permettait de transmuter une important quantité de magie en un sol point afin de créer un portail. Elle allait réapparaître loin de l'académie, mais pour une attaque, elle n'avait pas le choix. Arriver direct à l'académie, elle allait se faire démonter direct. Passer sous terre allait être beaucoup plus judicieux. Notre femme araignée connaissait le système de sécurité pratiquement par coeur et savait impérativement qu'il y avait très peu de sentinelles dans les sous-sols. Sa main enduite d'une magie arcanique additionné à une magie de téléportation une fois la pierre brisée, Typhanie asséna une coup dans le vide. Son bras aillant traversé l'espace-temps, elle se mit à déchirer même le vide afin d'y ouvrir une porte. Des éclats comme du verres virevoltaient un peu partout. Voilà, elle allait maintenant réapparaître à deux heures de marche de l'académie et une fois près de la capitale elle allait passer sous terre. Typhanie allait directement vers les sous-sols, alors que les araignées allait faire diversion. La femme araignée et son armée entrèrent dans le portail afin de se rendre dans l'autre monde une fois le portail fermé.
Un ciel bleu, cela faisait longtemps qu'elle n'avait pas vu cela. Étrangement, ce ciel bleu lui rappelait ce séjour dans le royaume elfique. Elle et son élève en train de travailler sur ce projet runique... Typhanie regarda sa main silencieusement en ce disant qu'elle ne pouvait pas reculer, car elle était encore en vie.

Du côté de Kana dans ses quartiers. Il alluma plusieurs torche afin d'éclairer la pièce. À notre plus grande horreur, il avait conservé plusieurs affaires qui appartenait à sa soeur, Ayame. Photo, peluche, et vêtements, il avait vraiment créer un autel obsessionnel à son effigie.
- Bien, nous allons bientôt être ensemble, Ayame.
Dit-il, alors qu'il possédait de long cheveux noirs et des yeux de couleur Magenta. Il venait de prendre l'apparence d'Ayame afin de prier à son autel à son effigie.
Il avait même conservé les pièces démembrées qu'il avait pu ramasser lors de leur retrouvaille.

Les araignées se faufilèrent dans la capitale. Même si elles étaient des robots, comme toutes araignées, elles étaient capable de se faufiler discrètement un peu partout. Alors que Typhanie, près des sous-sols, attendait seulement le signal de l'une d'elle afin de commencer son assaut. C'était tout de même assez mignon, les araignées robots se ruèrent un peu partout afin d'entrer dans l'académie. plusieurs essayaient par la porte principale, plusieurs par les fenêtres, d'autres ne savaient pas par où entrer; donc elles cherchaient sans but, d'autre réussissaient, d'autre échouaient.

- Je vais attendre qu'il y ait au moins une cinquantaine entré et ensuite je me mettrai en route pour leur ouvrir la porte.

Quelques-unes parvenirent à entrer, d'autre commençait à faire des toiles juste pour le plaisir de faire des toiles. Elles restaient quand même des araignées, on ne pouvait pas changer leur nature. Une fois à 50. *Parfait. Typhanie traversa le mur afin de bondir à travers le plancher afin d'arriver au premier plancher. Les gardes qui, eux, commençèrent à être submerger par ces petites araignées. Sur le plafond, Typhanie lâcha une crie effroyable et strident, ce qui fit fuir les gardes, mais elle les attrapa avec sa toile afin de les envoyer valser par la porte principale.
L'armée entra, l'assaut commença. Ce n'était que des petites araignées, mais elle étaient agiles. Typhanie, elle, alla directement se cacher des sentinelles, sachant où se trouvait les angles morts.
Direction, désactiver les défenses de l'académie.

Outsider est un outlander. C'est-à-dire un voyageur d’autre terre. Il ne sait pas d’où il vient et de comment il est arrivé ici, s'il a une famille, des amis, des proches. Il en devient même à avoir peut-être oublié son propre nom. Là
seule chose qui se souvient, c'est sa haine et sa peur envers son roi de l’époque entant que protecteur royal. Animé de cette fougue et de ses conaisances, il prit l’objet qui pourrait arrêter la lancer de son roi. L’orbe, Clavis est ad mundum qui se traduit par l'essentiel est de nettoyer, est la clé de cette autre terre à Outsider. Grâce à sa connaissance de l'époque, l’ex-protecteur royal à marquer une rune sur sa main pour en être le propriétaire. Outsider l’a cache sous ses gants en permanence. Cela lui a permis de voir à travers l’espace-temps et de différencier l’anna et la kata. C’est vecteur de la quatrième dimension qu’est l’espace-temps, si les trois premières dimensions permet de se déplacer de haut en bas et en profondeur. La quatrième dimension permet un quatrième type de déplacement, la téléportation. Attention, il y a l’énergie d’un ancien roi corrompu à l’intérieur qui permet de localiser les artefacts à la résurrection de lui et de son peuple. Cet orbe a donc une fonction de recherche artefact, mais si elle fait le récepteur de l’espace-temps. Peut-elle faire émetteur pour qu'outsider la trouve? La réponse est oui, sa marque à la main lui indiqua la direction à suivre.


En perdant son orbe et toujours à la recherche d’artefact pour en faire on ne sait quoi. Outsider s’est perdu dans le désert. Il ne sait pas s’il a trouvé un artefact runique, mais une chose est sûre, il s’est trouvée un compagnon d'aventure du nom de God life. God life est une sorte de machine runique. Loin de se douter ou de penser qu’il pourrait être l’artéfact runique temps recherché.  L’homme masqué devient vite ami avec lui si au départ, il s’en méfiait. Il le perdit de vue en cours de route comme son orbe. Le guerrier fourbe avait dû refaire son masque, car dans le désert, il faisait trop chaud pour le porter (Il a dû l’enlever aussi parce qu'un monstre du désert lui as brisé). Il en profita pour améliorer sa lunette dans son masque en superbe long vue, comme ça il peut se téléporter un peu plus loin. Il voyage que   de jour, car sa vision lui permet de se téléporter.  


Arrivé devant l’académie, il vue une invasion de robot araignée. Du haut d’une colline ou montagne, il zooma beaucoup, grâce son nouveau masque qui ressemblait très à l’ancien et se concentra. De sa longue-vue, il se rappela le roi despotique du royaume le plus proche. Il téléporta tous les habitants et chevalier en renfort à la place des araignées, sauf les roi et reine de ce même royaume.

Oups, j'espère que je ne ferai pas un régicide d’un roi tyrannique, pensa-t-il. Il médita un bon coup d’où l’étais et se téléporta à son tour.

-    Monsieur, mesdames, vous avez été réquisitionner pour défendre l'académie, désoler de vous interromps dans vos activités, mais l’heure est grave, une attaque massive est en cours. Je vous ai évacué de votre village pour défendre les rempares de l’humanité ou de plus tôt de l’académie. Vu la proximité avec votre royaume, il était certain que vous serrez les prochains. Excuse-moi, mais je dois aller récupérer un de mes bien. Un représentant vous expliquera en temps et en heures.

Outsider les laisse abasourdit et se téléporta à une fenêtre près d’où se tenait Akiza.

-  Comme ça, c'est toi qui avais mon orbe. Vous vous faites envahie par des araignées robots géantes. Je vous ai donné des renforts probables. J’en ai retardé la plus par, probablement en les téléportant. Allez, donne-moi mon orbe, dit l’homme masquer.

Il n'y a pas à dire...ça sent bel et bien l'ennui mortel. Depuis l'arrivée des anges, je n'ai rien vu de notable. Je reste allongée sur Ash en le caressant tout en maniant ma chouette au cas ou quelque chose arriverai par le ciel. Le vide total, le calme absolu. Pourtant, quelque chose me dit qu'il va se passer quelque chose. La présence de la générale angélique ? C'est complètement idiot de penser ça mais c'est le genre à être toujours au bon endroit au bon moment, si on aime l'action je veux dire. Si ce n'est pas le cas, vaut mieux fuir dés qu'elle approche. Je ne sais pas encore si elle sent les gros pépins cosmiques donc y va pour des raisons personnelles ou si c'est sa présence quelque part qui les attire. Je me pose la question depuis que je la connais.
Ce que je pense là n'a aucun sens. Vraiment aucun car il y a une chance sur deux que je perde mon temps...Mais je dois m'assurer que cette arme ne se retournera pas à nouveau contre mon peuple donc vaut mieux que je prenne les devants et c'est sûrement pour ça que la générale Lagos est ici, rien de plus car elle aussi veut protéger son peuple. Oui, ça s'arrête là et nous allons finir toutes les deux le bec dans l'eau.

Mon attention et attirée par l'apparition soudaine d'une multitude d'araignées mécaniques d'une trentaine de centimètres environ qui se dirigent vers le bâtiment. Elles avancent vite, comme si elles voulaient y entrer et son vraiment nombreuses. Je bande mon arc et calcule l'angle de vue me permettant d'en détruire plusieurs à la fois lorsqu'elles essayent de passer la fenêtre. Je tire ma première flèche qui en détruit 3 ou 4 puis encoche la seconde, vise à nouveau car je dois en tuer bien plus que ça. Mon calcul est troublé par l'arrivée de nulle part d'un homme masqué : il s'est téléporté ? Sûrement et il s'intéresse lui aussi à l'académie. Je suis suffisamment bien cachée pour qu'il ne me voit pas mais cela ne me dit pas quelle sont ses intentions : ami ou ennemi ?
Je tire ma seconde flèche et en détruit à nouveau 4 mais il y en a au moins une dizaine de rentrés ce qui me rappelle la présence de la générale Ornëa'Naé Lagos à l'intérieur. Je la contacte par télépathie et lui dit :
«  Ici la commandante Solrassya Zagreb. Vous vous souvenez ? L'académie est en train de se faire envahir par une multitude d'araignées mécaniques. Je vous aide au mieux depuis l'extérieur mais en cas de besoin contactez moi. » tout en encochant et visant à nouveau pour en supprimer 3 ou 4 de plus. Je tire une fois mon message envoyé. Finalement je devrai l'avoir mon fait d'arme à l'étranger et y penser me fait me lécher les babines, comme si j'étais moi même une panthère ou une tigresse.. ou une araignée sauf qu'elles n'ont pas de babines. Je me sent très en phase avec cet animal.

Pendant que j'encoche et vise avec ma quatrième flèche, je vois cet étrange individu invoquer des chevaliers humains puis se téléporter dans l'académie. Ne sachant toujours pas dans quel camp il est je vais observer le comportement de ces chevaliers avant de savoir si je dois avertir la générale qui doit déjà être en train de se battre à l'intérieur. Je supprime à nouveau 4 araignées. Je manque d'efficacité donc vais devoir trouver une meilleure ligne de tir...une fois que j'en saurai plus sur les intentions de ce puissant mage et ses chevaliers. J'encoche et vise...

J'étais maintenant moralement irréprochable. J'avais prévenu que Sanguinium allait foutre le bordel. J'avais également dit a mon entrevue que ne ne me dresserais pas contre ma patrie. Mon unique but est de partager mon savoir sur la magie, pas de tabasser tout le monde. J'explosa de rire. Les informations sur le système allait porté fruit. J'ai dis a Sanguinium comment atteindre aisément son objectif. la quasi absence de sort de zone était une faiblesse exploitable. Je regarda les vieux araignée semi mécanique faire leurs entré:

-Salut a toi Alexis, Alexandre, Axel, Bernard, Bertrand, Benjamin, Corian, Camille, Cassandra, Damien, Eric, Estel, Fabrice, Fabien, Gabriel, Gaby... Tu es si petit, il ne faut pas t'oublié Oscar, Zimo, Zulu, Yank, Maxime, Kevin (...) Arnaud.

Je les connaissait tous ses petits. Si jeune et si vieux a la foi. Le royaume humains a le même problème que l'académie: Pas de sort de zone. l'entré se fait litéralement arraché le portrais sous mon regard sinistre. Je ne touche absolument a rien, je laisse les araignée entrer. Le conte aussi proffiter de l'attaque pour reprendre mon phylactère et ainsi, ma liberté totel. Je n'aurais plus a craindre les représaille. Bien que je n'ai pas grand mal a faire a cette académie neutre...

L'invasion allait commencer. Moi qui connaît chaque recoin de cet établissement qui fut jadis mon toit que je protégeais au péril de ma vie.

Les araignées robotiques se faufilaient dans tout les recoins tel un essaim. Elles pullulaient de partout. Les gardes se faisaient piéger, transpercer, dévorer. Non-seulement eux, les sentinelles faisaient de leur mieux... Jusqu'à ce que plusieurs d'entre eux firent vaincre, désactiver, pire, parfois même reprogrammer. Un vrai cauchemars que le secteur de sécurité essayait d'y remédier immédiatement en les désactiver aussitôt. Les sentinelles avaient pour but de protéger l'académie ; pas de la détruire. Cette attaque venant des runiques étaient vicieuse, insidieuse. À la guerre comme à la guerre, le champs de bataille est un endroit sans pitié. Les runiques l'avait compris, l'académie c'était trop adoucit et elle allait payer les frais de cette " neutralité ".
Wah ha ha ha! Mon plan marche comme sur des roulettes! Bientôt, je vais la revoir. Notre maître va ravoir son épée et nous pourrons enfin —

Du calme, ce n'est que le début, non ?

Il est très rare que mes plans se foire ainsi. Corrompre la cheffe du secteur de sécurité pour qu'elle puisse reprogrammer ces tas de ferraille était un coup de génie.

Plusieurs yeux s'ouvrirent sur sa joue, son front et autres parts avant de se mettre à briller d'une lueur violette.
Il était temps de passer à la phase deux du plan, Typhanie allait devoir se rendre à l'endroit où Kana lui avait dit d'aller pendant que ses " tas de féraille '' allaient récolter l'épée : Sanguinium. Les gardes de l'académie avait du mal à retenir cette horde de monstre. En un rien de temps, Ils se faisaient tous ensevelir par ces dernier, comme une infestation. C'était comme un parasite qui s'infiltrait dans un corp étranger.

- Elle est dans la tour de l'Est.

D'une vitesse folle. Elle traversa un mur où un garde ne si attendait vraiment aucunement. La bouche grande ouverte, tout les deux, l'un finit dévoré et ce n'était pas la femme araignée. Le sang plusieurs litre de sang giclèrent alors qu'une bras resta au sol. Les nerfs recevirent leur derniers signaux venant du garde pour faire un dernier spasme du bout de leur doigt. Le sillage allait continuer comme une bête féroce. Plusieurs finirent décapité lors de sa traînée de sang, alors que d'autres, petits vénères, tentaient de fuir en vains. Eux aussi, et leurs hémoglobines, allaient rejoindre la traînée de sang de leurs camarades démembré par la créature runique.
Sa course continua jusqu'à la tour de l'Est afin de la retrouver, elle et cette épée maudite.

J'ai du mal à comprendre ce qu'il se passe car plus rien n'est logique. Je suis venue ici pour vérifier que Sanguinium est bien protégé et je me retrouve à revivre en boucle la pire bataille de ma vie. Dés que je croise quelqu'un ou quelque chose c'est pour entendre parler de ça et des pistes que les enquêteurs ont suivis dans les mois qui l'ont suivi. Tout me renvoie là dedans alors que je veux m'en extirper, mener à bien ma mission.

Si j'ai bien compris, j'ai fait un malaise en plein milieu de couloir donc les soldats ont fait venir le guérisseur qui pense que je dois rentrer et mes anges pensent qu'il a raison. Moi, j'essaye de comprendre pourquoi ça me persécute sans cesse et me demande si ça ne fait pas partie du plan. Jusque là je n'avais pas compris que la liche avec laquelle j'ai collaboré il y a quelques jours pour interpeller un professeur violeur est LA liche donc pouvait évoluer normalement. Maintenant je sais qu'il s'agit d'un agent runique et d'un agent vraiment très puissant. Je fait le tri dans mes idées car je dois vite reprendre le contrôle de la situation avant l'attaque et siroter mon verre d'ambroisie m'aide, me permet de m'ancrer dans le réel.
J'entends distraitement Oura'Nos parler avec le guérisseur tout en me frictionnant les épaules et vois qu'Iéna cherche à attirer mon regard. Parfait. Je lui dit :
« J'ai compris. Il m'a reconnu donc va précipiter l'attaque tout en nous désorganisant. Ils se servent de ce trauma pour se faciliter la tâche.
-Dans ce cas vous devez vite vous faire remplacer. Vous êtes en état de choc. Ca arrive. Iéna n'a pas compris ou je veux en venir. J'ai compris donc ne me laisserai plus désarçonnée.
-Vous croyez que c'est du hasard ? Réfléchissez deux secondes et finissons rapidement nos observations.
-Non en effet. La seule erreur que vous avez faite est de venir vous même. Rectifions la maintenant, avant l'attaque. Le capitaine peut gérer pendant quelques heures. Faites nous confiance et rentrez.» J'allais répondre lorsque mon attention est attirée par deux yeux rouges menaçants. Ils me scrutent en se rapprochant vite donc pose ma main sur Ultima ratio  et vide le fond de mon verre, prête à me défendre. Je ne reconais Alyssa, l'inquiétante princesse angélique qu'au moment ou elle me chuchotte un truc à l'oreille.  Visiblement elle n'a pas choisi le camp de son père, le roi Azamaëld Duskmane avec lequel nous sommes en guerre civile depuis...un bon demi siècle, enchaînant les trêves et combats.
Comme d'habitude ce qu'elle dit est énigmatique car c'est sa façon de s'exprimer mais je comprends qu'elle veut que je me reprenne. Ca tombe bien, c'est ce que je fait car maintenant j'ai compris que j'entendrai parler de ça tant que je resterai ici, tant que tout ne sera pas résolu. Son arrivée à jeté un froid et surpris mes anges car sent Oura'Nos cesser de me frictionner les épaules pour me serrer d'avantage dans ses bras et la discussion qu'il avait avec le guérisseur s'est interrompu. J'en profite pour me lever brutalement en hurlant :
« Mais puisque je vous dit que ça va ! Ca fait partie de leur plan ! Fonçons vite vérifier!  » et part en courant en jetant derrière moi la couverture en ordonnant dans la foulée à Alyssa de nous suivre.
Elle est de plus en plus flippante, je la vois de plus en plus comme une dangereuse arme qui va détruire le monde croisée avec une prophétesse de malheur. Il faudra que je trouve un moyen d'en discuter avec elle car elle pour mieux comprendre ce dont elle souffre avant qu'elle ne devienne franchement dangereuse et me retrouve dans l'obligation de la tuer. Je me demande si la fille n'est pas pire que le père sauf qu'elle je peux plus facilement m'en approcher, communiquer donc peut l'aider.


Je prends un croisement, talonnée par mes anges et le guérisseur lorsqu'une sentinelle s'approche de moi et me délivre une menace d'une voix inhabituelle et particulièrement flippante. Ce coup ci je m'attendais à ce qu'on me parle à nouveau de cette atroce bataille car tout ce que je croise m'en parle aujoud'hui et là encore un autre élément nouveau à faire vérifier plus tard mais ce que je retiens surtout c'est qu'à l'écouter dans 10 ans nous n'existerons plus. La sentinelle repart aussitôt. Je me retourne par réflexe pour y balancer mon verre vide dans le dos en lui hurlant :
« Pari tenu ! » car avec les informations qui me vienne d'ici et là nous devrions, les elfes et nous, pouvoir leur tendre un piège efficace. Je note aussi que les sentinelles sont piratées, surement par la liche runique et maniaque des massacres. L'attaque est plus qu'iminente donc contacte Dame Keisseira par télépathie en lui disant :
« Vos sentinelles sont maitrisées par les runiques.Elles délivrent des menaces et peuvent se retourner contre nous à tout moment. Faites les désactiver en urgence. »
J'allais contacter le capitaine Opsyanos lorsque je reçu un appel télépathique imprévu : la commandante Zagreb est à l'extérieur et me dit que l'Académie est en train de se faire envahir par une multitude d'araignées mécanique. Elle tombe à pic elle. Je complète le message que j'envoie à mon capitaine :
« Détruisez toutes les arraignées mécaniques qui s'infiltrent ! Méfiez vous des sentinelles car elles sont contrôlées par les runiques !
-Bien reçu générale. Elles arrivent donc on s'en charge. Elles sont très nombreuses ! » Il cesse brutalement la communication pour donner les ordres.

En bas ils sont assez nombreux pour gérer. Je dois vérifier que rien n'extrait Sanguinium donc continue à courir dans cette direction.j'enclenche mon bouclier et accélère tout en répondant à la commandante :
« Merci commandante. Mers troupes s'en chargent. Les runiques ont aussi pris le contrôle des sentinelles. Soyez prudente. »